Voici le petit sot qui te susurre
(pastiche)
J'aime, je suis un dur qu'on bat,
Pour toi qui toujours t'abat,
C'est en toute sobriété,
Que se noue encore l'amitié,
La saga que tu décrie,
Est une immense ode à la vie,
Dans cet univers de fous,
Nulle raison de se mettre à genoux,
Drogué de tes mots adulés,
Repousse toujours ce néant fêlé
Le noir ne doit pas être ton festin,
Ton ami en pensée surveille ton destin,
Il te somme, toi jolie Joconde,
Pour t'aider, que jamais tu ne tombes,
Pour toi, le bonheur ne doit pas être famélique,
Mais une belle orgie fantastique,
L'ami ne doit pas être ton roi,
Il te remerciera pour tes termes de bons alois,
Il entend et entendra encore toutes tes douleurs,
Pour que la perle de larme se transforme en bonheur.
(pastiche)
J'aime, je suis un dur qu'on bat,
Pour toi qui toujours t'abat,
C'est en toute sobriété,
Que se noue encore l'amitié,
La saga que tu décrie,
Est une immense ode à la vie,
Dans cet univers de fous,
Nulle raison de se mettre à genoux,
Drogué de tes mots adulés,
Repousse toujours ce néant fêlé
Le noir ne doit pas être ton festin,
Ton ami en pensée surveille ton destin,
Il te somme, toi jolie Joconde,
Pour t'aider, que jamais tu ne tombes,
Pour toi, le bonheur ne doit pas être famélique,
Mais une belle orgie fantastique,
L'ami ne doit pas être ton roi,
Il te remerciera pour tes termes de bons alois,
Il entend et entendra encore toutes tes douleurs,
Pour que la perle de larme se transforme en bonheur.