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Visage d'hiver.....

lilasys

Maître Poète
#1
Visage d'hiver.....

Une blancheur de neige envahit mes grands yeux
Tombent mille flocons sur ce qui est survie
Alcool pur des cieux sous un manteau de pluie
L'aube blanchit la terre où vivaient nos aïeuls

Froides larmes d'un ciel sous poncho duveteux
Sur fond de blanc silence un sol feutré marie
Une abstraite pâleur en poudreuse varie
Et frise la ruelle en un tableau laiteux

Glacée en pur éclat, la glèbe enchanteresse
Moutonne le frimas de grande forteresse
Voyez, Ô bonnes gens, blandice de vison

Sur parterre de lys, il saupoudre de sucre
Le vieux marchand de sable au perlé de blason
L'hiver se campe alors sur ses carats de lucre ...

LILASYS


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kinkin

Maître Poète
#5
Tu peux habiter Toulouse avec actuellement une température de 17 degrés et nous écrire sur l'hiver comme si tu y étais quelle imagination bravo Lola amicalement Kinkin
 

lebroc

Maître Poète
#6
Visage d'hiver.....

Une blancheur de neige envahit mes grands yeux
Tombent mille flocons sur ce qui est survie
Alcool pur des cieux sous un manteau de pluie
L'aube blanchit la terre où vivaient nos aïeuls


Froides larmes d'un ciel sous poncho duveteux
Sur fond de blanc silence un sol feutré marie
Une abstraite pâleur en poudreuse varie
Et frise la ruelle en un tableau laiteux


Glacée en pur éclat, la glèbe enchanteresse
Moutonne le frimas de grande forteresse
Voyez, Ô bonnes gens, blandice de vison


Sur parterre de lys, il saupoudre de sucre
Le vieux marchand de sable au perlé de blason
L'hiver se campe alors sur ses carats de lucre ...


LILASYS

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Un visage d'hiver resplendissant et un poème qui l'embellit
Bravo
Belle soirée
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#7
Village d'été.

Une pâleur au sommet envahit le p’tit vieux,
Tombent cent flacons pour toute sa survie,
Alcool sur du vieux comme un manteau d’envie,
L'aube noircit à se taire où s’avivaient les envieux.

Chaudes lames d'un fiel sans poncho duveteux,

Sur rond du blanc à la science calfeutrée en bergerie,
Sa petite rougeur est le signe de son avarie,
Qui frise la dentelle de son chapeau laiteux.

Agacé par le pur éclat, sa lèvre en sécheresse,
Marmonne au mas de la grande enchanteresse,
Envoyez, bonnes gens, la malice en vision.

Sur ! Par terre, je lis, je saupoudre le lucre,
En vieux savant, je sabre le perlé d’la boisson,

L'été décampe alors emportant tout le sucre.
 

lilasys

Maître Poète
#11
Tu peux habiter Toulouse avec actuellement une température de 17 degrés et nous écrire sur l'hiver comme si tu y étais quelle imagination bravo Lola amicalement Kinkin
Parce que mon regard curieux voit plus loin que l'horizon sur ces plaines, montagnes, rues enneigées !
Il suffit peu de choses pour s'inventer un paysage que j'avoue inexistant à Toulouse !
On veut la neige ! Mais avec 1 cm la ville est bloquée !
On veut la pluie, il tombe 3 gouttes , on est heureux
Il fait un grand soleil et là comme par déception ; On est blasé;
Perso j'aime les 4 saisons, c'est ce qui fait changer le paysage !
Bisous
 

lilasys

Maître Poète
#13
Mon Ami Luron à la plume qui goûte tous les maux !
Toi l'aventurier qui voyage entre mes lignes à en extraire la morosité!
Ces maux que je poste sans contrainte, toi tu les colories en Arc de ciel !
Merci pour tous ces textes dont tu es mon double
Bisous
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lilasys

Maître Poète
#14
Village d'été !
Visage sous clef!

Une pâleur au sommet envahit le p’tit vieux,
Tombent cent flacons pour toute sa survie,
Alcool sur du vieux comme un manteau d’envie,
L'aube noircit à se taire où s’avivaient les envieux.


Un soleil en trompette sourit dans ce lieu,
Caresse les rayons en sommeil pour une vie
Un panaché sans façon meurt à l'eau de vie,

Le crépuscule à blaire au nom de Dieu.

Chaudes lames d'un fiel sans poncho duveteux,
Sur rond du blanc à la science calfeutrée en bergerie,
Sa petite rougeur est le signe de son avarie,
Qui frise la dentelle de son chapeau laiteux.


Froides plaies en jambe postiche en adieux,
En pointillé, le monde se feutre en armoiries,
Il longe le bien, le mal, le tout sur la voirie,
Vague où les napperons crayonnent le majestueux.


Agacé par le pur éclat, sa lèvre en sécheresse,
Marmonne au ma de la grande enchanteresse,
Envoyez, bonnes gens, la malice en vision.


Le sourire en déclin sur bouche maitresse,
Le laineux son par delà Ô! villes sans adresse,
Saupoudrez ce paysage de tristes confusions.

Sur ! Par terre, je lis, je saupoudre le lucre,
En vieux savant, je sabre le perlé d’la boisson,
L'été décampe alors emportant tout le sucre.


A travers les visages au loin, sous involucre,
Si jeune enfant supplie la prise du biberon ,
Le printemps pleuré en fleurs mucres.

LILASYS/ LURON

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