J'ai le cœur qui sombre lentement
Le long de tes absences
Elles sont comme des coups
Des larmes qui tombent
Coulant le long des trottoirs
Des boulevards de la solitude
Des rues en brume
Devenus sourdes
Comme un déluge, une pluie
Qui font saigner les cœurs
Des blessures endormis
Que je ne peux oublier
Plus rien a d’importance
Ne pouvant guérir de ton absence
Ne promet rien
Ne dis rien
Si tu n’es pas là
Nourrissant le feu de la passion
Je ferme les yeux
Le cœur à nu dans l’ombre d’une histoire
Après toi
Je n’attends plus rien
Oubliant doucement les couleurs de ta voix
Qui s'éveillent lentement sans fin
Des regards tapis dans l’ombre
Des appels devenus sourd
Sur la place de tes silences
Comme une chanson d’amour qui prend fin
A des questions restées trop longtemps
Sans réponses
Des nuits sans soleil
Des jours sans sommeils
Penché sur l’illusion
Des années à oublier
Brûlant les mots de tes maux
Le long des lignes de l’ombre de ta lumière
Comme des coups de couteau
Faisant saigner mon cœur
Je me suis égaré
J’y ai cru
Le cœur rempli d’espoir
Une chanson de désespoir
Qui a pris fin
Sous le chant silencieux des oiseaux
Le cœur brisé
Je ne suis plus sûr de rien
Des notes légères douces amères
Comme un dégoût de l’amour
Une chanson rues des brumes
Laissant la crue d’un fleuve
Effacer les mots sous la douleur
T’emportant sur son passage
Là où la nature reprend ces droits
Sur la place des silences
Je garde encore en moi
Ma condamnation me privant de l’amour
De mes droits
L.Deléglise
Le long de tes absences
Elles sont comme des coups
Des larmes qui tombent
Coulant le long des trottoirs
Des boulevards de la solitude
Des rues en brume
Devenus sourdes
Comme un déluge, une pluie
Qui font saigner les cœurs
Des blessures endormis
Que je ne peux oublier
Plus rien a d’importance
Ne pouvant guérir de ton absence
Ne promet rien
Ne dis rien
Si tu n’es pas là
Nourrissant le feu de la passion
Je ferme les yeux
Le cœur à nu dans l’ombre d’une histoire
Après toi
Je n’attends plus rien
Oubliant doucement les couleurs de ta voix
Qui s'éveillent lentement sans fin
Des regards tapis dans l’ombre
Des appels devenus sourd
Sur la place de tes silences
Comme une chanson d’amour qui prend fin
A des questions restées trop longtemps
Sans réponses
Des nuits sans soleil
Des jours sans sommeils
Penché sur l’illusion
Des années à oublier
Brûlant les mots de tes maux
Le long des lignes de l’ombre de ta lumière
Comme des coups de couteau
Faisant saigner mon cœur
Je me suis égaré
J’y ai cru
Le cœur rempli d’espoir
Une chanson de désespoir
Qui a pris fin
Sous le chant silencieux des oiseaux
Le cœur brisé
Je ne suis plus sûr de rien
Des notes légères douces amères
Comme un dégoût de l’amour
Une chanson rues des brumes
Laissant la crue d’un fleuve
Effacer les mots sous la douleur
T’emportant sur son passage
Là où la nature reprend ces droits
Sur la place des silences
Je garde encore en moi
Ma condamnation me privant de l’amour
De mes droits
L.Deléglise