UTOPIE
Il y a ce que l'on pense et ce que l'on dit
Ce que l'on voudrait et ce que l'on vit
Il y a le passé, le présent, l'avenir
Des joies et des peines oubliées et d'autres à venir
Mélange d'euphorie, de doute et d'illusion
Ainsi s'égrènent les heures au cadran de l'horloge
Les aiguilles s'arrêtent un instant sur une belle vision
Mais reprennent inlassablement leur ronde folle
Notre regard un jour se porte vers un horizon serein
Mais le lendemain se lève déjà sur un autre chemin
Notre raison vacille et notre cœur s'emballe
Ainsi va la vie dans ce monde qui peut faire mal
Un sourire que l'on reçoit nous redonne du courage
Mais déjà des larmes inondent doucement nos yeux
Et c'est toujours avec cette même et indéniable rage
Que l'on se persuade d'avancer dans le merveilleux!
Passent les chimères, rêves utopiques ou désillusions amères
Un lac de brume envahit trop souvent notre univers
Que nul soleil n'arrive de ses chauds rayons lumineux
A éclairer nos pensées par de simples présages heureux
Mais malgré tout, quelque part est une île lointaine
Devra-t-on attendre notre dernier souffle pour y parvenir?
En laissant ici bas égoïsme, indifférence et haine
En apprenant en son sein à donner et à jamais chérir
Il y a ce que l'on pense et ce que l'on dit
Ce que l'on voudrait et ce que l'on vit
Il y a le passé, le présent, l'avenir
Des joies et des peines oubliées et d'autres à venir
Mélange d'euphorie, de doute et d'illusion
Ainsi s'égrènent les heures au cadran de l'horloge
Les aiguilles s'arrêtent un instant sur une belle vision
Mais reprennent inlassablement leur ronde folle
Notre regard un jour se porte vers un horizon serein
Mais le lendemain se lève déjà sur un autre chemin
Notre raison vacille et notre cœur s'emballe
Ainsi va la vie dans ce monde qui peut faire mal
Un sourire que l'on reçoit nous redonne du courage
Mais déjà des larmes inondent doucement nos yeux
Et c'est toujours avec cette même et indéniable rage
Que l'on se persuade d'avancer dans le merveilleux!
Passent les chimères, rêves utopiques ou désillusions amères
Un lac de brume envahit trop souvent notre univers
Que nul soleil n'arrive de ses chauds rayons lumineux
A éclairer nos pensées par de simples présages heureux
Mais malgré tout, quelque part est une île lointaine
Devra-t-on attendre notre dernier souffle pour y parvenir?
En laissant ici bas égoïsme, indifférence et haine
En apprenant en son sein à donner et à jamais chérir