Une trêve qui impose l'inédit ! (d’après « un rêve qui s’ose l’interdit » de Lilasys)
J’ai, en cette trêve, posé ce que tout homme fait,
D’un humour, que ce labeur triste, me détériore,
L’instant, telle l’accordeur, un dôme élabore,
Comme pourfendre le foyer du chantre en moi fêté.
Ho ! Laisse-moi répartir, envers ce présent chantier,
Où s’additionnent les maux flagrants en une cohorte météore,
D’un tourment dont le flou, ici, d’acteur décore,
Ainsi l’ennui décline après les vœux infondés.
D'une couche infidèle, à l’élève disons :
Les sortes de faux enfièvrent à foison,
Qu’une somme replète sans ton accord, féconde.
Réveiller tes plaisirs sont ma foie sûrement,
Plus attrayante encore aux vils abattements,
Et fermer pour de nouvelles bannières en ronde.....
J’ai, en cette trêve, posé ce que tout homme fait,
D’un humour, que ce labeur triste, me détériore,
L’instant, telle l’accordeur, un dôme élabore,
Comme pourfendre le foyer du chantre en moi fêté.
Ho ! Laisse-moi répartir, envers ce présent chantier,
Où s’additionnent les maux flagrants en une cohorte météore,
D’un tourment dont le flou, ici, d’acteur décore,
Ainsi l’ennui décline après les vœux infondés.
D'une couche infidèle, à l’élève disons :
Les sortes de faux enfièvrent à foison,
Qu’une somme replète sans ton accord, féconde.
Réveiller tes plaisirs sont ma foie sûrement,
Plus attrayante encore aux vils abattements,
Et fermer pour de nouvelles bannières en ronde.....
Un rêve qui s'ose l'interdit!!!
J’ai, ce beau rêve, osé, que nul homme n’a fait
D’un amour, que ce coeur, triste, se remémore
D’un temps, telle une fleur, l’arôme s’évapore
Comme un tendre foyer chante l’émoi d’été
Ô, laissez-moi partir, vers ces lointains quartiers
Où bourgeonnent les mots flagrants d’accorte flore
D’un torrent dont le flot, ici, ne meurt encore
Ainsi la nuit s’incline auprès d’œufs fécondés
D'une bouche fidèle, à ces lèvres, baisons
Les pores de ma peau, de fièvre, les frissons
Qu’une comète, ainsi, sur son corps, vagabonde
Eveiller les désirs sous la foi des segments
Plus rayonnante aurore aux mille firmaments
Et ouvrir de nouveau les paupières du monde.....
LILASYS
J’ai, ce beau rêve, osé, que nul homme n’a fait
D’un amour, que ce coeur, triste, se remémore
D’un temps, telle une fleur, l’arôme s’évapore
Comme un tendre foyer chante l’émoi d’été
Ô, laissez-moi partir, vers ces lointains quartiers
Où bourgeonnent les mots flagrants d’accorte flore
D’un torrent dont le flot, ici, ne meurt encore
Ainsi la nuit s’incline auprès d’œufs fécondés
D'une bouche fidèle, à ces lèvres, baisons
Les pores de ma peau, de fièvre, les frissons
Qu’une comète, ainsi, sur son corps, vagabonde
Eveiller les désirs sous la foi des segments
Plus rayonnante aurore aux mille firmaments
Et ouvrir de nouveau les paupières du monde.....
LILASYS