Promesse d’amour
C’est là ma mise à mort, mon idéal
Que je ne peux, ne veux recommencer
Tu étais cette femme et tu le resteras
Nous nous étions promis,
Un Amour éternel
Je t’aimerai aujourd’hui,
Pour toujours sous le ciel
Mais je t’avais promis aussi
De te chérir dans la tendresse
Et non de te blesser
Au point de te détruire
Et non de t’abimer
Au point de nous détruire
Mais un Amour de silence
Mais un Amour d’absence
Et pourtant il sera, oui il sera tel…
Un Amour de patience,
Un Amour éternel
Ni toi, ni moi n’attendrons l’autre
Ce sera mieux, que de souffrir inutilement
Ça c’est ce qu’il me reste de toi
A chaque seconde qui fuit
A chaque instant qui meurt
A chacune de mes larmes
A chacun de mes pleurs
Si tu savais à quel point
Je sais combien je t’ai fait mal
Peut-être, trouverais tu dans le lointain
Comment me pardonner, l’animal
Que sans le vouloir j’ai été
Et pourtant cet Amour était vrai
Comme il ne l’a jamais été, jamais
Oh Dieu je t’ai fait tant de mal
Et pourtant je t’ai tant aimée
Ce ne sont pas que des mots
En qui confiance on doit avoir
Mais moi, malade, je n’ai pas su le voir
C’est là ma mise à mort, mon idéal
Que je ne peux, ne veux recommencer
Tu étais cette femme et tu le resteras
Nous nous étions promis,
Un Amour éternel
Je t’aimerai aujourd’hui,
Pour toujours sous le ciel
Mais je t’avais promis aussi
De te chérir dans la tendresse
Et non de te blesser
Au point de te détruire
Et non de t’abimer
Au point de nous détruire
Mais un Amour de silence
Mais un Amour d’absence
Et pourtant il sera, oui il sera tel…
Un Amour de patience,
Un Amour éternel
Ni toi, ni moi n’attendrons l’autre
Ce sera mieux, que de souffrir inutilement
Ça c’est ce qu’il me reste de toi
A chaque seconde qui fuit
A chaque instant qui meurt
A chacune de mes larmes
A chacun de mes pleurs
Si tu savais à quel point
Je sais combien je t’ai fait mal
Peut-être, trouverais tu dans le lointain
Comment me pardonner, l’animal
Que sans le vouloir j’ai été
Et pourtant cet Amour était vrai
Comme il ne l’a jamais été, jamais
Oh Dieu je t’ai fait tant de mal
Et pourtant je t’ai tant aimée
Ce ne sont pas que des mots
En qui confiance on doit avoir
Mais moi, malade, je n’ai pas su le voir