Je vis un homme pousser dans une charrette,
Sa femme si coquette.
Jusqu'à un vieil arbre,
Caché dans cette forêt à l'ombre.
Proche de cette prairie,
Aux allures de bouquets fleuris.
Quand soudain, j'entend siffler,
Ce train qui venait d'arriver.
Dans le ciel, apparaissaient des nuages,
Recouvrant tout sur leurs passages.
Tout était merveilleux.
Tout était silencieux.
Quand virvoltait le vent,
Je sautillais telle une enfant.
Dans ce foin,
Caché dans un coin.
Admirant de jeunes coquelicots,
Sans un mot.
Le cheval et sa crinière ondulant,
Pennettrait dans ce champ.
Comme un doux rêveur,
Je suis en pleure.
Ma chevelure brillait de mille feux,
Même quand il pleus.
Un orage se fit entendre.
J'étais en train de vivre.
Près de maisons en ruines,
Qui ne payaient pas de mine.
Je continuais malgré tout à faire des gerbes,
tout en marchant dans l'herbe.
Tout en longeant les champs de blés,
Dans ce ciel éclairé.
En fredonnant une douce mélodie,
Toute l'après - midi.
Flo
(Pour le concours "L'amour à la campagne")
Sa femme si coquette.
Jusqu'à un vieil arbre,
Caché dans cette forêt à l'ombre.
Proche de cette prairie,
Aux allures de bouquets fleuris.
Quand soudain, j'entend siffler,
Ce train qui venait d'arriver.
Dans le ciel, apparaissaient des nuages,
Recouvrant tout sur leurs passages.
Tout était merveilleux.
Tout était silencieux.
Quand virvoltait le vent,
Je sautillais telle une enfant.
Dans ce foin,
Caché dans un coin.
Admirant de jeunes coquelicots,
Sans un mot.
Le cheval et sa crinière ondulant,
Pennettrait dans ce champ.
Comme un doux rêveur,
Je suis en pleure.
Ma chevelure brillait de mille feux,
Même quand il pleus.
Un orage se fit entendre.
J'étais en train de vivre.
Près de maisons en ruines,
Qui ne payaient pas de mine.
Je continuais malgré tout à faire des gerbes,
tout en marchant dans l'herbe.
Tout en longeant les champs de blés,
Dans ce ciel éclairé.
En fredonnant une douce mélodie,
Toute l'après - midi.
Flo
(Pour le concours "L'amour à la campagne")