Une porte ouverte
Me voici dans la nuit, j'aperçois la lumière
Au fond comme une porte ouverte sur l’espoir
Ma vue en ce silence admire le couloir
Et c’est un vrai mystère à l’aube coutumière.
Au fond du corridor, j’observe le chemin
Se dressant devant moi dans l’enfer d’une flamme
Je connais le destin qui dévoile mon âme
À l’ombre d’un tombeau, je songe au lendemain.
Serait-ce ainsi la fin le tourment d’une vie ?
Qui croise le parfum d’une rose asservie.
Maintenant, je ne peux révéler la douleur.
Me voici libéré par ton vœu de tendresse
Quand ta voix me ravit au vent d’une caresse
Je ne redoute plus le chant de l’oiseleur.
Maria-Dolores