UNE NUIT SANS SOUCIS
Je repense à vendredi soir,
La lune était comme un miroir,
Le ciel était si magnifique,
J'pense soudain à cette fille unique,
Je la revois alors sourire,
Elle me regarde, là, sans rien dire,
La mer garde las, sa rage ardente,
Pour ronger les terres qui la hantent,
J'oublie alors tout mes soucis,
Je suis heureux et je souris,
Car le bonheur n'a pas de prix,
Pas besoin de sous, ni de scies,
Je pense qu'à cette fée qui passait,
Car sans elle je ne puis panser,
Poncer, mes pensées du passé,
Qui s'embrasaient et s'élançaient,
Grâce à sa présence dans mon cœur,
J'oublie mes souffrances à chaque heure,
Qui parfois, par leurs larmes, m’écœurent,
J'sais alors qu'elle est mon âme sœur,
Et parce que je sais que j'l'aime,
Je lui envoie ces mots que j'sème,
Car c'est une fille tellement, si belle,
Aussi belle qu'un vol d'hirondelles.
Je repense à vendredi soir,
La lune était comme un miroir,
Le ciel était si magnifique,
J'pense soudain à cette fille unique,
Je la revois alors sourire,
Elle me regarde, là, sans rien dire,
La mer garde las, sa rage ardente,
Pour ronger les terres qui la hantent,
J'oublie alors tout mes soucis,
Je suis heureux et je souris,
Car le bonheur n'a pas de prix,
Pas besoin de sous, ni de scies,
Je pense qu'à cette fée qui passait,
Car sans elle je ne puis panser,
Poncer, mes pensées du passé,
Qui s'embrasaient et s'élançaient,
Grâce à sa présence dans mon cœur,
J'oublie mes souffrances à chaque heure,
Qui parfois, par leurs larmes, m’écœurent,
J'sais alors qu'elle est mon âme sœur,
Et parce que je sais que j'l'aime,
Je lui envoie ces mots que j'sème,
Car c'est une fille tellement, si belle,
Aussi belle qu'un vol d'hirondelles.
LUDOVIC IZAMBARD
Le 20 septembre 2011