Une culture d’envie.
(D’après Une sépulture de vie ! De Lilasys)
A ton premier cri, le coudre est tombée sur cet hôpital,
Es-tu couturière ? Le cœur des ripoux, m'a prédit l’enjeu capital,
En cette période difficile, prés des tourments, pour nos marmots,
De témoigner, en cette pandémie survenue avec tous ces maux.
Dites-lui, son vieux, en quatre mois, sa belle prose est devenus voilées,
Caché en rond, en leur centre, cette condition est à abhorrer,
Verni d’un petit humour, vous l'avez deviné, usiner de leurs bras,
Sans contingente inédite, aux cieux, enlevez donc tout embarras.
La rencontre avec ces femmes, mi-sirènes, mi-samaritain,,
Les filles, se réunissent pour le pire sans pouvoir voir la fin,
Les jours s’alternent trop forts, elles se cloîtrent dans leurs pleurs,
S’élève, coup pour coudre, ne peuvent rire, ni aspirer toutes leurs peurs.
Mais que fais-t-on ? Oh ! Anxieux, pour méditer sur ces souffrances,
Sans ces filles, vaut mieux ne se soumettre à aucune ordonnance,
Je commandite ma reconnaissance, au pied de leurs croix,
Venez donc tous fripouille, car de leur cœur, c’est le plus beau des choix.
***
Une sépulture de vie !
A mon premier cri, la foudre est tombée sur cet hôpital,
Suis-je Lucifer, un démon? Les sœurs, à genoux, m'ont prédit d'être infernale
Et ces années difficiles, loin de mes parents, de ce berceau,
Pour me soigner, de cette maladie venue sans le moindre mot.
Dites-moi, mon Dieu, ces dix ans qui devaient être rose et sont devenus violés,
J'ai enfoui au fond de mon ventre, cette humiliation sans pleurer.
Henry! Mon seul amour, vous l'avez arraché un soir, de mes bras,
Sur cette route maudite. Ô Dieu! vous n'êtes donc jamais las?
La rencontre avec cet homme, mi-animal mi-étrange crétin
Deux filles, nous unissent pour le pire et jamais de fin,
Cet ours des cavernes dort, quand je me cloître dans mes peurs,
Se lève, secoue ses puces, quand je veux rire et respirer comme une fleur.
Mais qu'ai-je fait, Ô Dieu! Pour mériter toutes ces souffrances?
Sans famille, sans mes vieux, je ne soumettrais, aucune doléance.
Je suis maudite, depuis ma naissance, au pied de votre croix,
Prenez donc ma dépouille!! Mais mon cœur a un sang qui ne se boit....
LILASYS
(D’après Une sépulture de vie ! De Lilasys)
A ton premier cri, le coudre est tombée sur cet hôpital,
Es-tu couturière ? Le cœur des ripoux, m'a prédit l’enjeu capital,
En cette période difficile, prés des tourments, pour nos marmots,
De témoigner, en cette pandémie survenue avec tous ces maux.
Dites-lui, son vieux, en quatre mois, sa belle prose est devenus voilées,
Caché en rond, en leur centre, cette condition est à abhorrer,
Verni d’un petit humour, vous l'avez deviné, usiner de leurs bras,
Sans contingente inédite, aux cieux, enlevez donc tout embarras.
La rencontre avec ces femmes, mi-sirènes, mi-samaritain,,
Les filles, se réunissent pour le pire sans pouvoir voir la fin,
Les jours s’alternent trop forts, elles se cloîtrent dans leurs pleurs,
S’élève, coup pour coudre, ne peuvent rire, ni aspirer toutes leurs peurs.
Mais que fais-t-on ? Oh ! Anxieux, pour méditer sur ces souffrances,
Sans ces filles, vaut mieux ne se soumettre à aucune ordonnance,
Je commandite ma reconnaissance, au pied de leurs croix,
Venez donc tous fripouille, car de leur cœur, c’est le plus beau des choix.
***
Une sépulture de vie !
A mon premier cri, la foudre est tombée sur cet hôpital,
Suis-je Lucifer, un démon? Les sœurs, à genoux, m'ont prédit d'être infernale
Et ces années difficiles, loin de mes parents, de ce berceau,
Pour me soigner, de cette maladie venue sans le moindre mot.
Dites-moi, mon Dieu, ces dix ans qui devaient être rose et sont devenus violés,
J'ai enfoui au fond de mon ventre, cette humiliation sans pleurer.
Henry! Mon seul amour, vous l'avez arraché un soir, de mes bras,
Sur cette route maudite. Ô Dieu! vous n'êtes donc jamais las?
La rencontre avec cet homme, mi-animal mi-étrange crétin
Deux filles, nous unissent pour le pire et jamais de fin,
Cet ours des cavernes dort, quand je me cloître dans mes peurs,
Se lève, secoue ses puces, quand je veux rire et respirer comme une fleur.
Mais qu'ai-je fait, Ô Dieu! Pour mériter toutes ces souffrances?
Sans famille, sans mes vieux, je ne soumettrais, aucune doléance.
Je suis maudite, depuis ma naissance, au pied de votre croix,
Prenez donc ma dépouille!! Mais mon cœur a un sang qui ne se boit....
LILASYS