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Une chevauchée sauvage (Attention, texte très érotique)

#1
On croirait que tu montes en selle
Pour une chevauchée jouvencelle
Ton orchidée posée sur mes lèvres
Pour quelque temps, ma cavalière


Voilà ma tête, devenue ta monture
Une cavalcade, d’un érotisme pur
Mes mains libres vont et viennent
Pour ton corps nu, elles t’aliènent


A pleine bouche frémissent lippes
Sur dodues labres, ma langue ripe
Elle y vagabonde, visite ton calice
Plonge, et acère encore ton clitoris


Je me délecte du doux fruit de mer
Nez sur mont de Vénus, impubère
Femme mure épilée, sans fourrure
La fleur si nue sans aucune vêture


Cela lui donne une allure espiègle
La voir ainsi, je suis pris au piège
Deux lobes fuselés, si bien galbés
Entre, deux gracieux pétales rosés


Je comtemple le détail des sillages
Dessin du sablé à la forme canaille
Image de la friande barquette de lu
Revient, devant cet intime tout nu


Prenant grand plaisir, à juste épier
Ce sexe strictement nu, déshabillé
Des bandelettes de cire glutineuse
Lui ont donné cette bouille vicieuse


Femme mature, au sexe sans poils
L’embrasser ainsi, est plaisir royal
Sonde et fouille un à un les sillons
Rendant souvent visite au tréfonds


Je tiens les rennes sur tes hanches
Et de plus en plus, tu te déhanches
Entre tes lunes, l’affolant stimulus
Ma langue vive, surprend ton anus


Des mini-ronds sur les microsillons
Sur les plis bronze, la stupéfaction
Presse là où convergent les rayons
Au passage le javelot fait incursion


Taraude l’étoile, vient s’y hasarder
Sans dédain, goût musqué, poivré
De mes pouces j’entrouvre l’ambre
Une sonde profonde, tu te cambres


L’ardente tentacule, furète l’orifice
Entre dans l’aven, un délice de vice
Au fin troufignon c’est l’exaltation
En tout ton corps, c’est l’ébullition


Flânant par la plaine soyeuse, lisse
No man’s land entre deux orifices
Contrée désertique d’un nu absolu
Que ma lécheuse explore, éperdue


Désert saharien, mais en rien aride
Viennent y perler des eaux limpides
Je remonte le flux jusqu’à la source
Plonge au calice saveur aigre douce


Abonde et coule à foison la lymphe
Je m’en délecte entre tes nymphes
Tes mains pressent derrière ma tête
J’embrasse ma cavalière à tue-tête


Difficile, de reprendre mon souffle
Tu cries au ciel, jouis, quel barouf !
Ma langue tournicote, sur ton sexe
L’explore tout nu, sans complexes


Oh que j’aime ton intime impubère
A l’entrecuisse, ta moule marinière
Ma lécheuse électrise le mollusque
Que je le nome tel, ne t’en offusque


J’assaille, la juteuse huître perlière
Doucement salée, finement acidulée
Tu tangues, comme un voilier ivre
Entre tes jambes, entre ma vouivre


Mes mains remontent sur tes flancs
Viennent empoigner tes seins blancs
Mes doigts fins façonnent tes tétons
Ils sont fort durcis, les petits pâtons


Mes paumes rejoignent tes hanches
Ta main me caresse, je m’épanche
Entre tes doigts c’est ma jouissance
Entre tes cuisses c’est la providence


Jouis ! Jouis encore, ma cavalière
Les eaux vives au galop se libèrent
Dans un tonnerre je bois la fontaine
Oh ma belle amante que je t’aime !
 
Dernière édition:

GABY73

Maître Poète
#5
très jolie on a envie d'y être:)
On croirait que tu montes en selle
Pour une chevauchée jouvencelle
Ton orchidée posée sur mes lèvres
Pour quelque temps, ma cavalière


Voilà ma tête, devenue ta monture
Une cavalcade, d’un érotisme pur
Mes mains libres vont et viennent
Pour ton corps nu, elles t’aliènent


A pleine bouche frémissent lippes
Sur dodues labres, ma langue ripe
Elle y vagabonde, visite ton calice
Plonge, et acère encore ton clitoris


Je me délecte du doux fruit de mer
Nez sur mont de Vénus, impubère
Femme mure épilée, sans fourrure
La fleur si nue sans aucune vêture


Cela lui donne une allure espiègle
La voir ainsi, je suis pris au piège
Deux lobes fuselés, si bien galbés
Entre, deux gracieux pétales rosés


Je comtemple le détail des sillages
Dessin du sablé à la forme canaille
Image de la friande barquette de lu
Revient, devant cet intime tout nu


Prenant grand plaisir, à juste épier
Ce sexe strictement nu, déshabillé
Des bandelettes de cire glutineuse
Lui ont donné cette bouille vicieuse


Femme mature, au sexe sans poils
L’embrasser ainsi, est plaisir royal
Sonde et fouille un à un les sillons
Rendant souvent visite au tréfonds


Je tiens les rennes sur tes hanches
Et de plus en plus, tu te déhanches
Entre tes lunes, l’affolant stimulus
Ma langue vive, surprend ton anus


Des mini-ronds sur les microsillons
Sur les plis bronze, la stupéfaction
Appuie là où convergent les rayons
Au passage le javelot fait incursion


Taraude l’étoile, vient s’y hasarder
Sans dédain, goût musqué, poivré
De mes pouces j’entrouvre l’ambre
Une sonde profonde, tu te cambres


L’ardente tentacule, furète l’orifice
Entre dans l’aven, un délice de vice
Au fin troufignon c’est l’exaltation
En tout ton corps, c’est l’ébullition


Flânant par la plaine soyeuse, lisse
No man’s land entre deux orifices
Contrée désertique d’un nu absolu
Que ma lécheuse explore, éperdue


Désert saharien, mais en rien aride
Viennent y perler des eaux limpides
Je remonte le flux jusqu’à la source
Plonge au calice saveur aigre douce


Abonde et coule à foison la lymphe
Je m’en délecte entre tes nymphes
Tes mains pressent derrière ma tête
J’embrasse ma cavalière à tue-tête


Difficile, de reprendre mon souffle
Tu cries au ciel, jouis, quel barouf !
Ma langue tournicote, sur ton sexe
L’explore tout nu, sans complexes


Oh que j’aime ton intime impubère
A l’entrecuisse, ta moule marinière
Ma lécheuse électrise le mollusque
Que je le nome tel, ne t’en offusque


J’assaille, la juteuse huître perlière
Doucement salée, finement acidulée
Tu tangues, comme un voilier ivre
Entre tes jambes, entre ma vouivre


Mes mains remontent sur tes flancs
Viennent empoigner tes seins blancs
Mes doigts fins façonnent tes tétons
Ils sont fort durcis, les moribonds !


Mes paumes rejoignent tes hanches
Ta main me caresse, je m’épanche
Entre tes doigts c’est ma jouissance
Entre tes cuisses c’est la providence


Jouis ! Jouis encore, ma cavalière
Les eaux vives au galop se libèrent
Dans un tonnerre je bois la fontaine
Oh ma belle amante que je t’aime !
Bravo
Et pourquoi pas une visio
Gaby