Un temps lumineux
Je sais que le temps passe et mon sort est précaire,
Mon amour, je ressens cette ombre délétère
Me rongeant maintenant !
Il est un monde aux cieux rêvant de destinée
Où l’homme peut croiser sa douce dulcinée.
Dans son cœur rayonnant.
L’ardeur, souvent, se fond dans la tendre caresse
De ta main sans égards, dévoile avec adresse
Ce doux sein pertinent.
Choisis avec les tiens le pré d’une campagne
Pour apaiser l’ennui de ta triste compagne
Dit l’esprit épineux.
Je garde tous les jours l’espoir de mon envie
Quand faiblit le poète à l’hymne d’une vie
Aux vers vertigineux.
J’observe devant moi, le chagrin de ton âme
Regrettant le matin l’indifférente flamme
D’un soleil lumineux.
Maria-Dolores