UN SOUVENIR SOUDAIN
Je ne sais pas quoi faire, je regarde l'horizon,
J'observe ce vert paysage, depuis mon balcon,
Parsemé de noir et de blanc, tel un yin-yang,
Je ne dis plus un mot, et je retiens ma langue,
Soudain, je ferme les yeux, je revois mon passé,
Il y a des beaux souvenirs, mais aussi des regrets,
Or je suis fier de ma vie, malgré tout mes maux,
Eux, que j'apaise, en laissant ma plume, dire ces mots,
Certes, je sais bien mon cœur, de milles parts, transpercé,
De flèches empoisonnées, par des filles que j'aimais,
Mais ce soir, en levant mes yeux vers Jupiter,
Je prends conscience, que nous sommes petits sur la Terre,
Brusquement, je vois cette fille dans le courant de ma vie,
Un amour secret, plus sincère que passager,
Cependant, je pense encore, parfois à cette fée,
Et c'est cet ange, qui règne dans mes pensées cette nuit.
Cette déesse, je me souvient d'elle, telle une princesse,
Ces souvenirs, me viennent par ce vent qui me caresse,
Digne d'une belle romance, écrite rien que pour cet ange,
Je nous imaginais, sous un vol de mésanges,
Certes, je l'ai retrouvé! Et elle est célibataire!
Mais comment lui avouer? Je ne suis pas seul sur Terre!
A coté d'elle, je me sentirai ridicule,
Car cette perle, brille autant que les larmes de la nuit.
Si je lui avoue, que pensera-t-elle? Elle si belle!
Se posera-t-elle, ou voler telles les hirondelles?
Mais là, je vous laisse, car là, vient le crépuscule,
Or, aujourd'hui, j'aimerai que s'éclaircisse ma vie!
Je ne sais pas quoi faire, je regarde l'horizon,
J'observe ce vert paysage, depuis mon balcon,
Parsemé de noir et de blanc, tel un yin-yang,
Je ne dis plus un mot, et je retiens ma langue,
Soudain, je ferme les yeux, je revois mon passé,
Il y a des beaux souvenirs, mais aussi des regrets,
Or je suis fier de ma vie, malgré tout mes maux,
Eux, que j'apaise, en laissant ma plume, dire ces mots,
Certes, je sais bien mon cœur, de milles parts, transpercé,
De flèches empoisonnées, par des filles que j'aimais,
Mais ce soir, en levant mes yeux vers Jupiter,
Je prends conscience, que nous sommes petits sur la Terre,
Brusquement, je vois cette fille dans le courant de ma vie,
Un amour secret, plus sincère que passager,
Cependant, je pense encore, parfois à cette fée,
Et c'est cet ange, qui règne dans mes pensées cette nuit.
Cette déesse, je me souvient d'elle, telle une princesse,
Ces souvenirs, me viennent par ce vent qui me caresse,
Digne d'une belle romance, écrite rien que pour cet ange,
Je nous imaginais, sous un vol de mésanges,
Certes, je l'ai retrouvé! Et elle est célibataire!
Mais comment lui avouer? Je ne suis pas seul sur Terre!
A coté d'elle, je me sentirai ridicule,
Car cette perle, brille autant que les larmes de la nuit.
Si je lui avoue, que pensera-t-elle? Elle si belle!
Se posera-t-elle, ou voler telles les hirondelles?
Mais là, je vous laisse, car là, vient le crépuscule,
Or, aujourd'hui, j'aimerai que s'éclaircisse ma vie!
LUDOVIC IZAMBARD
LE 04 Septembre 2011
LE 04 Septembre 2011
