On peut dépeindre en joie un regard merveilleux
Qui luit dans le silence aux foudres de la vie
L’amour n’a plus de rêve et s’ouvre à cette envie
Sous un doux ciel d’azur où se posent tes yeux.
Qui luit dans le silence aux foudres de la vie
L’amour n’a plus de rêve et s’ouvre à cette envie
Sous un doux ciel d’azur où se posent tes yeux.
Tu jettes sur tes pleurs le sel de tes aïeux
Où se consume en vers un grain de poésie.
Tu charmes la prunelle à la belle égérie
Fuyant parfois l’orage au cercle de tes cieux.
Où se consume en vers un grain de poésie.
Tu charmes la prunelle à la belle égérie
Fuyant parfois l’orage au cercle de tes cieux.
Enfin si l’on observe aux cils de ta folie
Un espoir dans ton cœur semant une embellie
Sous la lune pérenne on souffle nos instants.
Un espoir dans ton cœur semant une embellie
Sous la lune pérenne on souffle nos instants.
Ta vue est en partance et se métamorphose
Au gré d’un air léger émergeant dans le temps ,
Que d’une vision l’être naît d’une rose.
Au gré d’un air léger émergeant dans le temps ,
Que d’une vision l’être naît d’une rose.
Maria-Dolores