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Un regard a suffi

#1
Un regard a suffi, oui je te le dis.
On s’est rencontré sous un manteau de pluie,
Devant les maisons où les tourtereaux s’aiment et se lient,
En parlant d’amour devant un feu qui luit.

Tu as pris ma main et m’a regardé dans les yeux,
Un grain de douceur y était présent, calme et heureux
Alors que nos visages, trempés et humides, ruisselaient
Sous ce temps capricieux qui grondait.

Les éléments se déchaînaient contre nous
Et les autres pensaient que nous étions fous,
Alors que paralysée par tes yeux émeraude,
Je pouvais sentir ta respiration chaude.

En plusieurs rendez-vous amoureux,
J’ai pu découvrir ta tendresse et ta gentillesse,
Tu me faisais oublier les autres avec leurs doigts soupçonneux
Et on riait de ma charmante maladresse.

Tu m’aimais, je t’aimais, on s’aimait,
Cela a été le plus beau cadeau qu’on puisse obtenir,
Et devant un feu de cheminée, les discours à bannir
Etaient prononcés, murmurés, susurrés.

Notre bonheur était au comble, sans obscurité,
Mais un jour, on t’a enlevé à moi
Par une nuit d’épouvante où ta vie a été arrachée,
Dans mon cœur, j’ai ressenti un grand vide et un immense froid.

Durant quelques temps d’amour et de complicité,
Tu m’as redonné envie de vivre, je ne t’oublierai jamais,
Et comme tout le monde l’a deviné et traduit,
Pour nous, un regard a suffi.
 
Dernière édition:
#2
Un regard a suffi, oui je te le dis.
On s’est rencontré sous un manteau de pluie,
Devant les maisons où les tourtereaux s’aiment et se lient,
En parlant d’amour devant un feu qui luit.

Tu as pris ma main et m’a regardé dans les yeux,
Un grain de douceur y était présent, calme et heureux
Alors que nos visages, trempés et humides, ruisselaient
Sous ce temps capricieux qui grondait.

Les éléments se déchaînaient contre nous
Et les autres pensaient que nous étions fous,
Alors que paralysée par tes yeux émeraude,
Je pouvais sentir ta respiration chaude.

En plusieurs rendez-vous amoureux,
J’ai pu découvrir ta tendresse et ta gentillesse,
Tu me faisais oublier les autres avec leurs doigts soupçonneux
Et on riait de ma charmante maladresse.

Tu m’aimais, je t’aimais, on s’aimait,
Cela a été le plus cadeau qu’on puisse obtenir,
Et devant un feu de cheminée, les discours à bannir
Etaient prononcés, murmurés, susurrés.

Notre bonheur était au comble, sans obscurité,
Mais un jour, on t’a enlevé à moi
Par une nuit d’épouvante où ta vie a été arrachée,
Dans mon cœur, j’ai ressenti un grand vide et un immense froid.

Durant quelques temps d’amour et de complicité,
Tu m’as redonné envie de vivre, je ne t’oublierai jamais,
Et comme tout le monde l’a deviné et traduit,
Pour nous, un regard a suffi.
Bonsoir Coralie,
il y a du merveilleux quand le verbe aimer se conjugue à deux,
et quand un regard a suffit...
C'est beau quand le souvenir d'un bonheur survit à un départ comme une déchirure.
 

iboujo

Maître Poète
#4
Coralie , tu es faite pour écrire ,
ton imagination déborde

attention
et c'est un conseil , pas une critique

à tes vers plus longs que tu intercales

des mots en trop,
ne sont pas nécessaires


exemple
"alors que nos visages trempés, et humides ,ruisselaient"
trempés
ou
humides

alors que nos visages humides ruisselaient....



l'ensemble est plaisant à lire
bises jojo
 

Polymnie2

Maître Poète
#6
Les yeux sont le miroir de l'âme
lorsqu'on saisit une flamme dans ce regard
elle ne vous quitte jamais,
elle éclaire ton chemin!.

Merci pour ce délicieux poème,
dans la douleur des étincelles éclairent,
vers la vie

Amicalement polymnie2,
 
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