Poème pour un concours et j'ai pris le thème : C'est magique ! (Petit intermède avec le calendrier de l'Avent)
J’arpentais sans mot dire au creux de ce couffin
Une illustre forêt où hulule un hibou
Au sein d’une pinède épandant de son houx
Tout un monde enchanté où miroitent les pins
Faisant du paysage un refrain entrainant
Où opèrent les chants rythmés par les flocons.
Ces maitres étoilés de cette orchestration
Epargnent les sapins pour narrer prudemment
Que sous leur cœur meurtri se cache une citrine
Un copeau de l’hélianthe évoquant le dieu Râ
Afin de rappeler par leurs airs d’Opéra
Que ces gracieux danseurs n’omettent leurs racines.
Ce végétal divin qui les a vu grandir
Est justement un cône un digne épicéa
Composé d’un crachin qui déverse l’éclat
D’un lumignon doré où l’argent des soupirs
De ce dôme lyrique au méthylène aloi
Déverse ses émois sur ces stables bougies
Afin que ces cristaux répandent leur magie
En ces mois hivernaux où le malheur s’accroit.
En effet ces enfants sont des astres blessés
Qui malgré leur tourment content par leur fraicheur
L’héritage octroyé par leurs procréateurs
Une flamme ivoirine où la morosité
Détient le filament du thème principal
Pour pouvoir composer dans ce poudrin polaire
Un Spleen baudelairien humanisant l’hiver.
De leur valse esseulée ils témoignent sans mal
Cet exil impuni suite à cette disgrâce
Mais essaie dans leur feu d’arborer un sourire
Afin d’illuminer sous l’accord de leur lyre
Cette enchanteur climat pour ne pas que s’efface
Le nectar allusif reflétant cette fête.
J’aimerai remercier ces larmes sidérales
Renvoyant la douleur de l’union maritale
De n’avoir pu garder ces tessons qui étête
Psychiquement leur arbre en devant composer
Leur annuelle mission sous cette abattement
Afin de compatir à leur désagrément
Tout en les admirant pour ces offres lustrées
Ces occultes fictions sous leur pinceau laiteux.
Ces auteurs opalins d’un lactescent tison
Dénotant à eux seuls les sens de ces saisons
En rendant par leur scène un tableau fabuleux
Qui octroie à Noël son essence angélique.
Alors je fais le souhait de retrouver un jour
Ces carillons scandant sous leurs branches d’amour
Par leurs cléments drapés la clarté catholique.
Oiseau Lyre.
J’arpentais sans mot dire au creux de ce couffin
Une illustre forêt où hulule un hibou
Au sein d’une pinède épandant de son houx
Tout un monde enchanté où miroitent les pins
Faisant du paysage un refrain entrainant
Où opèrent les chants rythmés par les flocons.
Ces maitres étoilés de cette orchestration
Epargnent les sapins pour narrer prudemment
Que sous leur cœur meurtri se cache une citrine
Un copeau de l’hélianthe évoquant le dieu Râ
Afin de rappeler par leurs airs d’Opéra
Que ces gracieux danseurs n’omettent leurs racines.
Ce végétal divin qui les a vu grandir
Est justement un cône un digne épicéa
Composé d’un crachin qui déverse l’éclat
D’un lumignon doré où l’argent des soupirs
De ce dôme lyrique au méthylène aloi
Déverse ses émois sur ces stables bougies
Afin que ces cristaux répandent leur magie
En ces mois hivernaux où le malheur s’accroit.
En effet ces enfants sont des astres blessés
Qui malgré leur tourment content par leur fraicheur
L’héritage octroyé par leurs procréateurs
Une flamme ivoirine où la morosité
Détient le filament du thème principal
Pour pouvoir composer dans ce poudrin polaire
Un Spleen baudelairien humanisant l’hiver.
De leur valse esseulée ils témoignent sans mal
Cet exil impuni suite à cette disgrâce
Mais essaie dans leur feu d’arborer un sourire
Afin d’illuminer sous l’accord de leur lyre
Cette enchanteur climat pour ne pas que s’efface
Le nectar allusif reflétant cette fête.
J’aimerai remercier ces larmes sidérales
Renvoyant la douleur de l’union maritale
De n’avoir pu garder ces tessons qui étête
Psychiquement leur arbre en devant composer
Leur annuelle mission sous cette abattement
Afin de compatir à leur désagrément
Tout en les admirant pour ces offres lustrées
Ces occultes fictions sous leur pinceau laiteux.
Ces auteurs opalins d’un lactescent tison
Dénotant à eux seuls les sens de ces saisons
En rendant par leur scène un tableau fabuleux
Qui octroie à Noël son essence angélique.
Alors je fais le souhait de retrouver un jour
Ces carillons scandant sous leurs branches d’amour
Par leurs cléments drapés la clarté catholique.
Oiseau Lyre.
