Alors, je ne sais plus si j'en ai fait un peu part, mais on va tenter de s'y mettre sérieusement et assidument (cela changera de d'habitude), en essayant d'aller jusqu'au bout. Je compte faire en poème, tous les Disney "principaux" dirons-nous, de chez Pixar, Disneytoon et Disney animation studio.
Oui, cela va être long, mais j'aime beaucoup écrire, alors j'aime bien me donner des challenges, d'autant que cela me permettra en même temps de rendre hommage à ces films qui ont bercé mon enfance, et continueront, à jamais, d'être inhérents à ma vie. (Ouep, y'a certains films, je vais bien galérer, mais bon).
Enfin quoi qu'il en soit, j'ai commencé par Bambi, car il représente pour moi la quintessence de Disney, la plus belle oeuvre qu'il n'ait jamais créées, et tout bonnement, la plus belle ode animée 2D en général que j'aie pu voir, tant sur le plan de l'animation, que l'harmonie métrique qui se forment avec les chansons, ainsi que le film qui offre la plus belle morale à l'épanouissement de l'enfant, et son évolution jusqu'à l'âge adulte, et un doux hommage à Dame Nature, en parallèle.
Au centre d’un bosquet sous le couvert des saules
Aux lueurs du printemps naquit un jeune faon
Afin que la forêt s’imprègne de son rôle
D’apprendre au cervidé sous son teint envoûtant
De débuter sa vie en éveillant ses sens.
Dans ce tableau floral il s’épanouie sans crainte
Par sa curiosité sous une bienveillance
Constante que sa mère apporte en une empreinte
Afin de protéger son intrépide fils
Qu’il suivra avec joie la voyant comme un guide
Qui lui enseignera son futur qui s’esquisse
Celui d’avoir ce cadre un jour sous son égide.
Il poursuivit sa route au gré de son humeur
Par l’envie qui le pousse à vouloir découvrir
Sans cesse son royaume apprêté des senteurs
Qui peignent l’intérêt d’un faon prêt à partir
Pour cette traversée de ce monde changeant
Qui modifie sa robe au rythme des saisons.
On contemple avec lui ce berceau verdoyant
Où cette toile vive anime sa leçon
En prenant par la main notre émotif poupon
Qui s’égaye de tout pour lui faire l’aveu
Que ce nid artistique est loin d’être un cocon
D’une sérénité qui ne vise qu’au jeu.
Alors pour le saisir notre éclat sensitif
S’affublera d’amis qui dès sa parution
L’ont fortement aidé sous l’élan impulsif
Pour débuter au mieux sa précieuse ascension
Sous l’œil énamouré de sa mère affectueuse.
Si la vie au départ pouvait peindre un Eden
Où l’ignorance offrait de façon silencieuse
Un moyen de parer de ses penchants de haines
Que ce futaie camoufle en un diable grimé
D’un attrait angélique évinçant la substance
De sa véracité sous ce masque intimé.
Il va vite comprendre en cette transhumance
De ce panorama qui migre chaque temps
En une partition de notes colorées
Qu’orchestre ce quatuor sous sa palette arquant
Ce déluge lettrée où les vers cadencés
S’affairent à montrer que cette ode métrique
Ne se préserve pas des périls quotidiens.
Ces drames s’effectuent sous le joug platonique
Des chasseurs consumant aux côtés de leurs chiens
L’existence ébranlée ne tenant qu’à un fil
De ces cœurs forestiers où les nerfs sont à vif
De devoir deviner les obstacles subtils
En étant obligé de rester attentif
A chaque pas émit dans cet orbe fielleux.
Bambi l’a bien compris après avoir perdu
Sous un coup de fusil en un son insidieux
Sa douce génitrice en étant abattu
Par une balle impure afin de le priver
De sa chère maman qu’il ne pourra plus voir.
Mais malgré cet affront qui l’a annihilé
Le marquant à jamais il ne se verra choir
En lui représentant que dès son plus jeune âge
Il se verra contraint de devoir affronter
Les plus durs coups du sort tel un sombre présage
Afin de succéder pour ce rôle princier
Dignement à son père en ce don titanesque.
Alors sous l’affection de sa douce Féline
Après un incendie et des dogues burlesques
Où leur anatomie abime la rétine
Il va se renforcer sur le plan spirituel
Suite à ces aléas afin de devenir
Un prince courageux sous les tendres prunelles
De ses deux chérubins prospérant l’avenir.
Oiseau Lyre.
Oui, cela va être long, mais j'aime beaucoup écrire, alors j'aime bien me donner des challenges, d'autant que cela me permettra en même temps de rendre hommage à ces films qui ont bercé mon enfance, et continueront, à jamais, d'être inhérents à ma vie. (Ouep, y'a certains films, je vais bien galérer, mais bon).
Enfin quoi qu'il en soit, j'ai commencé par Bambi, car il représente pour moi la quintessence de Disney, la plus belle oeuvre qu'il n'ait jamais créées, et tout bonnement, la plus belle ode animée 2D en général que j'aie pu voir, tant sur le plan de l'animation, que l'harmonie métrique qui se forment avec les chansons, ainsi que le film qui offre la plus belle morale à l'épanouissement de l'enfant, et son évolution jusqu'à l'âge adulte, et un doux hommage à Dame Nature, en parallèle.
Au centre d’un bosquet sous le couvert des saules
Aux lueurs du printemps naquit un jeune faon
Afin que la forêt s’imprègne de son rôle
D’apprendre au cervidé sous son teint envoûtant
De débuter sa vie en éveillant ses sens.
Dans ce tableau floral il s’épanouie sans crainte
Par sa curiosité sous une bienveillance
Constante que sa mère apporte en une empreinte
Afin de protéger son intrépide fils
Qu’il suivra avec joie la voyant comme un guide
Qui lui enseignera son futur qui s’esquisse
Celui d’avoir ce cadre un jour sous son égide.
Il poursuivit sa route au gré de son humeur
Par l’envie qui le pousse à vouloir découvrir
Sans cesse son royaume apprêté des senteurs
Qui peignent l’intérêt d’un faon prêt à partir
Pour cette traversée de ce monde changeant
Qui modifie sa robe au rythme des saisons.
On contemple avec lui ce berceau verdoyant
Où cette toile vive anime sa leçon
En prenant par la main notre émotif poupon
Qui s’égaye de tout pour lui faire l’aveu
Que ce nid artistique est loin d’être un cocon
D’une sérénité qui ne vise qu’au jeu.
Alors pour le saisir notre éclat sensitif
S’affublera d’amis qui dès sa parution
L’ont fortement aidé sous l’élan impulsif
Pour débuter au mieux sa précieuse ascension
Sous l’œil énamouré de sa mère affectueuse.
Si la vie au départ pouvait peindre un Eden
Où l’ignorance offrait de façon silencieuse
Un moyen de parer de ses penchants de haines
Que ce futaie camoufle en un diable grimé
D’un attrait angélique évinçant la substance
De sa véracité sous ce masque intimé.
Il va vite comprendre en cette transhumance
De ce panorama qui migre chaque temps
En une partition de notes colorées
Qu’orchestre ce quatuor sous sa palette arquant
Ce déluge lettrée où les vers cadencés
S’affairent à montrer que cette ode métrique
Ne se préserve pas des périls quotidiens.
Ces drames s’effectuent sous le joug platonique
Des chasseurs consumant aux côtés de leurs chiens
L’existence ébranlée ne tenant qu’à un fil
De ces cœurs forestiers où les nerfs sont à vif
De devoir deviner les obstacles subtils
En étant obligé de rester attentif
A chaque pas émit dans cet orbe fielleux.
Bambi l’a bien compris après avoir perdu
Sous un coup de fusil en un son insidieux
Sa douce génitrice en étant abattu
Par une balle impure afin de le priver
De sa chère maman qu’il ne pourra plus voir.
Mais malgré cet affront qui l’a annihilé
Le marquant à jamais il ne se verra choir
En lui représentant que dès son plus jeune âge
Il se verra contraint de devoir affronter
Les plus durs coups du sort tel un sombre présage
Afin de succéder pour ce rôle princier
Dignement à son père en ce don titanesque.
Alors sous l’affection de sa douce Féline
Après un incendie et des dogues burlesques
Où leur anatomie abime la rétine
Il va se renforcer sur le plan spirituel
Suite à ces aléas afin de devenir
Un prince courageux sous les tendres prunelles
De ses deux chérubins prospérant l’avenir.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
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