Dehors les cigales chantaient
Par les persiennes diffusait
Une fine lumière en rayons
J’avais une bien belle vision
Elle avait là un joli visage
Sous les yeux un joli sillage
Un œil de bronze cyclopéen
Visage troublant oh combien
On aurait dit un vrai Picasso
Drôle de visage au pinceau
Une bouche à quatre lèvres
Verticales, un bijou d’orfèvre
Un menton pubien tout nu
L’entre-jambe tout aussi nu
On aurait dit un pays dunaire
Sous mon nez, l’impubère
Lieu intime à la peau lisse
Et voir entrebâillé le calice
Ses joues fesses, ouvertes
Son intimité toute offerte
Dans sa bouche, ma verge
Droite, comme une asperge
De sa main tantôt asticote
De sa bouche tantôt suçote
Soixante neuf allez savoir
Ou quatre vingt seize, à voir
En voûte son sexe en hélix
Sa langue tournait en hélice
Au plafond son étoile havane
Pris au piège sous l’arcane
Et sa main jouait au col roulé
Ses lippes au cou caressaient
Mes mains sur ses hanches
Sur ses flancs, bonté blanche
Je me sens fondre éperdu
Empoignant ses seins nus
Sur mes paumes ses tétons
Voilà qui vient la libation
Devant son visage d’en bas
Elle me mets en branle-bas
Contemplant sa jolie trombine
Je jouis en la gorge de Corinne
Par les persiennes diffusait
Une fine lumière en rayons
J’avais une bien belle vision
Elle avait là un joli visage
Sous les yeux un joli sillage
Un œil de bronze cyclopéen
Visage troublant oh combien
On aurait dit un vrai Picasso
Drôle de visage au pinceau
Une bouche à quatre lèvres
Verticales, un bijou d’orfèvre
Un menton pubien tout nu
L’entre-jambe tout aussi nu
On aurait dit un pays dunaire
Sous mon nez, l’impubère
Lieu intime à la peau lisse
Et voir entrebâillé le calice
Ses joues fesses, ouvertes
Son intimité toute offerte
Dans sa bouche, ma verge
Droite, comme une asperge
De sa main tantôt asticote
De sa bouche tantôt suçote
Soixante neuf allez savoir
Ou quatre vingt seize, à voir
En voûte son sexe en hélix
Sa langue tournait en hélice
Au plafond son étoile havane
Pris au piège sous l’arcane
Et sa main jouait au col roulé
Ses lippes au cou caressaient
Mes mains sur ses hanches
Sur ses flancs, bonté blanche
Je me sens fondre éperdu
Empoignant ses seins nus
Sur mes paumes ses tétons
Voilà qui vient la libation
Devant son visage d’en bas
Elle me mets en branle-bas
Contemplant sa jolie trombine
Je jouis en la gorge de Corinne