Dans l’Antre de Mes Bras,
Il a appris à renaître
C’était un tout petit,
Un de ceux qui naquit,
Dans un Jardin soyeux,
Mais qui n’en vit jamais.
Un Jour, Le Pauvre, La Maladie le prit.
Pourtant il était doux,
Un de ces petits si doux..
Je lui tendis ma main,
Il était pas certain,
Lui montrant la route blanche,
Il vit soudain cette lueur étrange,
Que l’on suit sans attendre,
Pour ne plus jamais redescendre.
Oui Mon Amour Tu es arrivé,
Je t’ai montré la route,
Maintenant tu dois y loger,
Pour guérir tes blessures;
Pour tarir tes gerçures,
Ici tu verras,
La Paix tu y trouveras.
Pourtant tu sais,
Il te faudra travailler,
Ne pas te laisser entraîner
Aider ceux qui ont froid,
Soigner ceux qui ont mal,
Alors donne moi la main,
Et faisant un bon de chemin,
Je t’apprendrai les pièges à éviter,
Te protégerais des louves égarées,
Je serai là quand tu le voudras,
Pour t’entraîner dans de jolis draps de soie,
Faisant de nous deux Jumelles à moitié nues…
Il a appris à renaître
C’était un tout petit,
Un de ceux qui naquit,
Dans un Jardin soyeux,
Mais qui n’en vit jamais.
Un Jour, Le Pauvre, La Maladie le prit.
Pourtant il était doux,
Un de ces petits si doux..
Je lui tendis ma main,
Il était pas certain,
Lui montrant la route blanche,
Il vit soudain cette lueur étrange,
Que l’on suit sans attendre,
Pour ne plus jamais redescendre.
Oui Mon Amour Tu es arrivé,
Je t’ai montré la route,
Maintenant tu dois y loger,
Pour guérir tes blessures;
Pour tarir tes gerçures,
Ici tu verras,
La Paix tu y trouveras.
Pourtant tu sais,
Il te faudra travailler,
Ne pas te laisser entraîner
Aider ceux qui ont froid,
Soigner ceux qui ont mal,
Alors donne moi la main,
Et faisant un bon de chemin,
Je t’apprendrai les pièges à éviter,
Te protégerais des louves égarées,
Je serai là quand tu le voudras,
Pour t’entraîner dans de jolis draps de soie,
Faisant de nous deux Jumelles à moitié nues…