Sorti de désirs féconds
Assis sur un galet intrigué, scrutant les blés
Je vis germer haut l’image douce de mon été
Elle venait toute belle sur mes yeux perlés
En mille gaies beautés, amantes m’ensorceler
•
Au chemin l’image s’est fondue dans ma main
Eprise aux câlins de mon soyeux chagrin
Qui creusait mon cœur sain d’un bonheur malin
Béate, Elle le déposa au sein de son désir puritain
•
Au beau ciel d’azur se mira l’affriolant fruit mûr
D’un partagé duo pur dans une posée pensée sûre
D’éclore sans égratignure en splendides ramures
Proliférante parure d’amour qui aisée vous rassure
•
Un duo d’yeux déposa passionné un riche vœu
Dans le brillant miraculeux de l’amour heureux
Et les lumières au jeu posèrent ce mirifique enjeu
De s’aimer vigoureux d’un amour langoureux
•
L’on vit bourgeonner dans l’amour du grand pré
Mille et mille petits baisers du plaisir nourricier
Qui brise les faims sorties du fond d’un désir gai
De se trouver libérer d’une longue attente frustrée
Au matin de la patiente promenade à l’ambassade
De rageurs sentiments firent d’aubades en sérénades
Preuve, main dans la main sur l’esplanade de la rade
D’une passion de deux cœurs prêts à la chamade
•
Et l’on vit se lever à l’horizon un amour du cocon
Sorti de désirs féconds engendrant la belle passion
De deux êtres pudibonds épris de la floraison
De leurs échanges en union couronné par leur raison.
©ƒC
Assis sur un galet intrigué, scrutant les blés
Je vis germer haut l’image douce de mon été
Elle venait toute belle sur mes yeux perlés
En mille gaies beautés, amantes m’ensorceler
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Au chemin l’image s’est fondue dans ma main
Eprise aux câlins de mon soyeux chagrin
Qui creusait mon cœur sain d’un bonheur malin
Béate, Elle le déposa au sein de son désir puritain
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Au beau ciel d’azur se mira l’affriolant fruit mûr
D’un partagé duo pur dans une posée pensée sûre
D’éclore sans égratignure en splendides ramures
Proliférante parure d’amour qui aisée vous rassure
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Un duo d’yeux déposa passionné un riche vœu
Dans le brillant miraculeux de l’amour heureux
Et les lumières au jeu posèrent ce mirifique enjeu
De s’aimer vigoureux d’un amour langoureux
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L’on vit bourgeonner dans l’amour du grand pré
Mille et mille petits baisers du plaisir nourricier
Qui brise les faims sorties du fond d’un désir gai
De se trouver libérer d’une longue attente frustrée
Au matin de la patiente promenade à l’ambassade
De rageurs sentiments firent d’aubades en sérénades
Preuve, main dans la main sur l’esplanade de la rade
D’une passion de deux cœurs prêts à la chamade
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Et l’on vit se lever à l’horizon un amour du cocon
Sorti de désirs féconds engendrant la belle passion
De deux êtres pudibonds épris de la floraison
De leurs échanges en union couronné par leur raison.
©ƒC