Tu m'as quitté .. maman ..
Tu m’as quitté bien trop tôt maman
Épuisée avec tous les tourments
De la guerre et de ses incidents,
Comment t’oublier moi ton enfant.
Très affligé et plein de tristesse,
J’ai toujours ce grand déchirement,
Qui me suivra éternellement,
Me laissant depuis dans la détresse
Oui, maintes fois j’ai dû te pleurer,
Maman tu sais parfois je m’en veux,
D’être resté si loin de tes yeux,
Et sans n’avoir pas su mieux t’aimer.
Plus les années passent, ma douleur
Et le grand manque de ta présence
Sont pour moi une dure souffrance
Qui ne s’effacera de mon cœur.
De là-haut tu me vois surement,
Alors, des astres veille sur moi,
Maman je sais que tu as la foi,
Car si je crois je suis différent.
J’ai l’âge de quand tu es partie.
Et, le jour de quitter cette terre
Viendra j’espère sans m’y attendre,
Je dois penser à ma fin de vie.
Ce premier Janvier c’est cent dix ans
Qu’on aurait dû souhaiter ensemble,
Maintenant plus rien ne nous rassemble,
Car tu es partie trop tôt maman.
Épuisée avec tous les tourments
De la guerre et de ses incidents,
Comment t’oublier moi ton enfant.
Très affligé et plein de tristesse,
J’ai toujours ce grand déchirement,
Qui me suivra éternellement,
Me laissant depuis dans la détresse
Oui, maintes fois j’ai dû te pleurer,
Maman tu sais parfois je m’en veux,
D’être resté si loin de tes yeux,
Et sans n’avoir pas su mieux t’aimer.
Plus les années passent, ma douleur
Et le grand manque de ta présence
Sont pour moi une dure souffrance
Qui ne s’effacera de mon cœur.
De là-haut tu me vois surement,
Alors, des astres veille sur moi,
Maman je sais que tu as la foi,
Car si je crois je suis différent.
J’ai l’âge de quand tu es partie.
Et, le jour de quitter cette terre
Viendra j’espère sans m’y attendre,
Je dois penser à ma fin de vie.
Ce premier Janvier c’est cent dix ans
Qu’on aurait dû souhaiter ensemble,
Maintenant plus rien ne nous rassemble,
Car tu es partie trop tôt maman.