Tu as besoin de moi, pourtant je n'oserais te le dire,
Oh !pas pour mon sourire, ni pour ma tendresse,
Mais pour canaliser tes maux figés comme de la cire,
Tu t'agaces, t'énerves ,l'hémorragie est commanderesse.
Tu ne te contrôles plus , te parlant calmement ,tu te délasses,
Tu es une victoire ,retrouvant la joie,d' avec le comme côté" cool-baba",
Je suis l'éponge , absorbant les chagrins , je décrasse,
Des moments d'Amour où j'agis, te remettant du bon pas.
J'entends les cordes de ta voix s'apaiser, mon mot est-il magnétique?
Tu ris de mes pitreries , tu redeviens cocasse, petite bataille, petite victoire,
Ma fierté sortie rajeunie,sans boniment ,que t'aimer ; même électrique,
Chérir tes animosités , les ôter.Sais-tu qu 'être utile existe sur les deux trottoirs?
Moi aussi , j ' ai besoin de toi, pour les drames, les angoisses,
Je lave mes tracas en ton regard celadon aux pouvoirs infinis,
La plus belle fleur de mon jardin est ton cocon gainant ma poisse,
Comme le couple passionné du lopin de terre, rimant avec Paradis.
Sur l'échiquier de la glèbe, des roses croulantes s'entrelacent,
Le flamboyant pâlit , se penche vers la source nymphée,
Nous gagerons la victoire sur ces désirs qui enlacent,
Et si tu veux batailler,je te laisse conquérir, je serai ton trophée.....
Oh !pas pour mon sourire, ni pour ma tendresse,
Mais pour canaliser tes maux figés comme de la cire,
Tu t'agaces, t'énerves ,l'hémorragie est commanderesse.
Tu ne te contrôles plus , te parlant calmement ,tu te délasses,
Tu es une victoire ,retrouvant la joie,d' avec le comme côté" cool-baba",
Je suis l'éponge , absorbant les chagrins , je décrasse,
Des moments d'Amour où j'agis, te remettant du bon pas.
J'entends les cordes de ta voix s'apaiser, mon mot est-il magnétique?
Tu ris de mes pitreries , tu redeviens cocasse, petite bataille, petite victoire,
Ma fierté sortie rajeunie,sans boniment ,que t'aimer ; même électrique,
Chérir tes animosités , les ôter.Sais-tu qu 'être utile existe sur les deux trottoirs?
Moi aussi , j ' ai besoin de toi, pour les drames, les angoisses,
Je lave mes tracas en ton regard celadon aux pouvoirs infinis,
La plus belle fleur de mon jardin est ton cocon gainant ma poisse,
Comme le couple passionné du lopin de terre, rimant avec Paradis.
Sur l'échiquier de la glèbe, des roses croulantes s'entrelacent,
Le flamboyant pâlit , se penche vers la source nymphée,
Nous gagerons la victoire sur ces désirs qui enlacent,
Et si tu veux batailler,je te laisse conquérir, je serai ton trophée.....
Dernière édition: