Un rêve en moi depuis des ans, retrouvé en toi,
La grand-porte du don ouverte à discrétion,
Tu restitues le mystère de la vie avec passion,
A bien faire tu crées du bien -être , de la joie.
Tu me parles et la lumière sort de tes lèvres,
Les lèvres du coeur ,au même endroit me pénétrant,
Tu multiplies les occasions à chacun de tes instants,
Tu es l'amour que j'attendais, Ô ! heures mièvres.! ,
Et quand nos sens deviennent plénitude et pureté,
D'eux ,se dégage une puissance comme tes bras serrés
Sur ma personne: "Pour bâtir haut, il faut creuser profond"
Et profonds sont les sentiments qui t'habitent. Là, au fond
Il y a moi, soulevée par une terre fertile qui m'abrite,
Arrosant chaque grain, qu'il germe cordial et implicite,
Oiseaux de passage, ne vous querellez pas par négligence,
N'est-il pas beau le délit d'une tendresse d'allégeance ?
Sur les flots des grands chemins , suivons l'air,
L'Amour ne s'explique pas, il faut le pénétrer,
'Quand on aime pas trop, on aime pas assez"
Amour, savourons le voyage en nos chairs ....
La grand-porte du don ouverte à discrétion,
Tu restitues le mystère de la vie avec passion,
A bien faire tu crées du bien -être , de la joie.
Tu me parles et la lumière sort de tes lèvres,
Les lèvres du coeur ,au même endroit me pénétrant,
Tu multiplies les occasions à chacun de tes instants,
Tu es l'amour que j'attendais, Ô ! heures mièvres.! ,
Et quand nos sens deviennent plénitude et pureté,
D'eux ,se dégage une puissance comme tes bras serrés
Sur ma personne: "Pour bâtir haut, il faut creuser profond"
Et profonds sont les sentiments qui t'habitent. Là, au fond
Il y a moi, soulevée par une terre fertile qui m'abrite,
Arrosant chaque grain, qu'il germe cordial et implicite,
Oiseaux de passage, ne vous querellez pas par négligence,
N'est-il pas beau le délit d'une tendresse d'allégeance ?
Sur les flots des grands chemins , suivons l'air,
L'Amour ne s'explique pas, il faut le pénétrer,
'Quand on aime pas trop, on aime pas assez"
Amour, savourons le voyage en nos chairs ....