Trop lourd est mon cœur
Oh, mais que veut dire mon cœur lorsque dans ma poitrine, il ne cesse de frappé ?
Des joies, des tristesses, des émois, je ressens en moi ses battements si forts,
Parfois, j'abaisse puis rouvre mes paupières, je somnole dans mes chimères,
Entre toutes les ruelles incertaines de la vie, je tente à l'aveugle d'avancer,
Si encore, je traîne des pieds alors malgré que moi, je ressens bien que tout m'attire,
Ces rêves cachés dans mon âme qui ne verra sans doute jamais le jour,
Dans les tréfonds de moi-même, il erre une certaine lassitude qui me ronge,
Trop de questions qui hantent ma tête sans que je puisse m'en détacher,
Celles-ci furent sûrement trop ancrées dans mon cœur, leurs forces m'épuisent
Ses ressentiments vifs règnent en moi, me parcourent et si soudainement me brûlent,
En moi, il y a une impression d'être sentimentalement sans cesse en équilibre,
J'en frissonne de toute mon âme sans comprendre ce qui m'arrive vraiment,
Qu'est-ce que ses sentiments de vide, où, bizarrement, j'ai si peur de déraper ?
Alors que je serre les poings et j'essaye de vaincre ceux-ci, je fais l'effort,
Pertinemment, je sais que parfois tout peut semblait un peu trop éphémère,
Ça fait si longtemps que ses sensations sous mes yeux telles des flammes jaillissaient,
Leurs crépitements, leurs douces chaleurs ardentes irrémédiablement me tirent,
Je ne sais pas si ce n'est depuis peu de temps, ou bien depuis toujours,
Aucune d'elles ne fait en sortes que ne se consume aucun de mes songes,
Ces si fines flammes bien trop vives, réchauffant jusqu'au sang sans même tacher,
À travers celle-ci, je m'inspire de leurs jolies flammes que je puise,
Depuis toujours, il y a cet enfant dont je rêve qui serait le mien, mon cœur en brûle,
Aux creux de mes bras, je l'aurais bercé avec lui, je pourrais me sentir moi-même et libre,
Mon cœur, lui, saurait enfin se libérer et partager avec celui-ci de beaux sentiments.
Oh, mais que veut dire mon cœur lorsque dans ma poitrine, il ne cesse de frappé ?
Des joies, des tristesses, des émois, je ressens en moi ses battements si forts,
Parfois, j'abaisse puis rouvre mes paupières, je somnole dans mes chimères,
Entre toutes les ruelles incertaines de la vie, je tente à l'aveugle d'avancer,
Si encore, je traîne des pieds alors malgré que moi, je ressens bien que tout m'attire,
Ces rêves cachés dans mon âme qui ne verra sans doute jamais le jour,
Dans les tréfonds de moi-même, il erre une certaine lassitude qui me ronge,
Trop de questions qui hantent ma tête sans que je puisse m'en détacher,
Celles-ci furent sûrement trop ancrées dans mon cœur, leurs forces m'épuisent
Ses ressentiments vifs règnent en moi, me parcourent et si soudainement me brûlent,
En moi, il y a une impression d'être sentimentalement sans cesse en équilibre,
J'en frissonne de toute mon âme sans comprendre ce qui m'arrive vraiment,
Qu'est-ce que ses sentiments de vide, où, bizarrement, j'ai si peur de déraper ?
Alors que je serre les poings et j'essaye de vaincre ceux-ci, je fais l'effort,
Pertinemment, je sais que parfois tout peut semblait un peu trop éphémère,
Ça fait si longtemps que ses sensations sous mes yeux telles des flammes jaillissaient,
Leurs crépitements, leurs douces chaleurs ardentes irrémédiablement me tirent,
Je ne sais pas si ce n'est depuis peu de temps, ou bien depuis toujours,
Aucune d'elles ne fait en sortes que ne se consume aucun de mes songes,
Ces si fines flammes bien trop vives, réchauffant jusqu'au sang sans même tacher,
À travers celle-ci, je m'inspire de leurs jolies flammes que je puise,
Depuis toujours, il y a cet enfant dont je rêve qui serait le mien, mon cœur en brûle,
Aux creux de mes bras, je l'aurais bercé avec lui, je pourrais me sentir moi-même et libre,
Mon cœur, lui, saurait enfin se libérer et partager avec celui-ci de beaux sentiments.
