Encore un faux espoir pour moi
Caché sous mon oreiller
Un frissonnement glacé m'émoi
Je songe à elle sans arrêt
En perpétuel questionnement
A toute heure de la journée
J'ai l'impression que je l'entends
J'ai l'impression de rêver
L'histoire tourne à la tragédie
Quand je la croise dans la rue
J'ai tant à dire pour la séduire
Dans ces yeux, je suis perdu
Sous sécrétion de passion
Sous l'emprise d'amphétamine
Elle endolorit ma raison
Elle me berce, elle m'illumine
Une fois de plus anéanti
Ma réflexion s'arrête là
C’est tout mon corps qui ralentit
C'est mon âme qui devient las
Caché sous mon oreiller
Un frissonnement glacé m'émoi
Je songe à elle sans arrêt
En perpétuel questionnement
A toute heure de la journée
J'ai l'impression que je l'entends
J'ai l'impression de rêver
L'histoire tourne à la tragédie
Quand je la croise dans la rue
J'ai tant à dire pour la séduire
Dans ces yeux, je suis perdu
Sous sécrétion de passion
Sous l'emprise d'amphétamine
Elle endolorit ma raison
Elle me berce, elle m'illumine
Une fois de plus anéanti
Ma réflexion s'arrête là
C’est tout mon corps qui ralentit
C'est mon âme qui devient las
(Celui la encore fait parti de mes tout premiers textes, mais je l'apprécie quand même)