Toute en notes chantées
chante un baiser
chante un baiser
Je respire place de l’Opéra
Ouïr enfin le « déri-déra ».
C’est dimanche, l’oraison sacrée
Lance un canon tout en ballet,
Musique profane méditée
Passe sur le fil de la portée,
Son long cordon sur-dédicacé
Ouïr enfin le « déri-déra ».
C’est dimanche, l’oraison sacrée
Lance un canon tout en ballet,
Musique profane méditée
Passe sur le fil de la portée,
Son long cordon sur-dédicacé
En fond sonore sur LA DO RE
Sous la voûte de l’éternité
Beau ruban de musicalité
Sonne l’été sur banc d’hirondelles.
S’envole le chant à tire d’ailes,
S’élargit avec lui l’horizon,
Le ciel s’élève devient profond.
Sous la voûte de l’éternité
Beau ruban de musicalité
Sonne l’été sur banc d’hirondelles.
S’envole le chant à tire d’ailes,
S’élargit avec lui l’horizon,
Le ciel s’élève devient profond.
Manquent la lyre, le violoncelle
Mais sont là, guitare, ménestrel
Au coin de rue Sept Troubadours
Se joue le soir l’obole d’amour.
C’est un autre registre humain
Chanté sur le cœur de la main
La chansonnette il l’aime bien,
Pour une pièce un doux refrain,
Dans son regard, le pesant d’or
S’accorde au temps qu’il fait dehors.
A votr’bon cœur Mesdames, Messieurs
Chantée gaie la joie dans les yeux !
Je vois mourir bien des choses animées
Mais la symphonie ne peut s’embaumer.
Le soupir des sons suaves à jamais
En mon âme encor chante
Son long baiser.
Mais sont là, guitare, ménestrel
Au coin de rue Sept Troubadours
Se joue le soir l’obole d’amour.
C’est un autre registre humain
Chanté sur le cœur de la main
La chansonnette il l’aime bien,
Pour une pièce un doux refrain,
Dans son regard, le pesant d’or
S’accorde au temps qu’il fait dehors.
A votr’bon cœur Mesdames, Messieurs
Chantée gaie la joie dans les yeux !
Je vois mourir bien des choses animées
Mais la symphonie ne peut s’embaumer.
Le soupir des sons suaves à jamais
En mon âme encor chante
Son long baiser.
Polymnie2, ce 20 juillet 2019
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