Tourterelles de Constantine
O temps oublieux j’ai nostalgie de Leila au noir cil
Amour de ma jouvence, frêle fleur de cerise
Valsant lentement au gré de la légère brise
Baignant mon âme de son suc subtil
Sur les pentes mon Luth lui chante un vaudeville
Où l’amour blessé étreint le cœur et le grise
Tel un harmonieux rêve qui s’envole et se brise
Sous la clameur matinale éveillant la ville
O ruelles de la Casbah où neigeait son pas léger
Quand au soir l’encensoir exhale l’arôme d’oranger
Et le troupeau des trains bêle à Bab El Kantara
Miroitant l’écarlate robe ,les tourterelles de Constantine
L’aile couvant tendrement la belle mandoline
Sur un air Andalou roucoulent « Koum Tara »
O temps oublieux j’ai nostalgie de Leila au noir cil
Amour de ma jouvence, frêle fleur de cerise
Valsant lentement au gré de la légère brise
Baignant mon âme de son suc subtil
Sur les pentes mon Luth lui chante un vaudeville
Où l’amour blessé étreint le cœur et le grise
Tel un harmonieux rêve qui s’envole et se brise
Sous la clameur matinale éveillant la ville
O ruelles de la Casbah où neigeait son pas léger
Quand au soir l’encensoir exhale l’arôme d’oranger
Et le troupeau des trains bêle à Bab El Kantara
Miroitant l’écarlate robe ,les tourterelles de Constantine
L’aile couvant tendrement la belle mandoline
Sur un air Andalou roucoulent « Koum Tara »
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