Ton prénom est dans mon poème
J’ai mendié ton visage et ta grâce
sur le front des tempêtes,
sur
le luth des firmaments,
je t’ai cherchée
sous
les galets qui jonchent
les berges du Loir,
sous
l’hymne des tempêtes,
sous
la moiteur de l’ombre.
J’ai glané sans trêve ton sourire
parmi les champs et les grèves,
parmi les soleils couchants
et les équinoxes,
je t’ai évoquée
sur le cristal de l’horizon,
sur
les quatrains des fleurs de rosée
qui
se balancent
aux
margelles des charmilles.
je t’ai retrouvée enfin
un jour d’été,
tu frôlais l’archet des lueurs
de tes doigts de verre,
ta
crinière brune flottait
dans
l’azur des ciboires.
Tu m’as bénie tant de fois
de tes paumes si douces,
que mon corps
resplendit de santé,
et
que mes yeux
n’épanchent
que des larmes de joie.
Je te connais
depuis
l’origine des
stances de piété,
ton prénom est dans mon poème,
et
je m’immolerai à la vergue de
notre idylle
pour
exaucer
le plus délicat
de tes désirs !
Sophie 839
J’ai mendié ton visage et ta grâce
sur le front des tempêtes,
sur
le luth des firmaments,
je t’ai cherchée
sous
les galets qui jonchent
les berges du Loir,
sous
l’hymne des tempêtes,
sous
la moiteur de l’ombre.
J’ai glané sans trêve ton sourire
parmi les champs et les grèves,
parmi les soleils couchants
et les équinoxes,
je t’ai évoquée
sur le cristal de l’horizon,
sur
les quatrains des fleurs de rosée
qui
se balancent
aux
margelles des charmilles.
je t’ai retrouvée enfin
un jour d’été,
tu frôlais l’archet des lueurs
de tes doigts de verre,
ta
crinière brune flottait
dans
l’azur des ciboires.
Tu m’as bénie tant de fois
de tes paumes si douces,
que mon corps
resplendit de santé,
et
que mes yeux
n’épanchent
que des larmes de joie.
Je te connais
depuis
l’origine des
stances de piété,
ton prénom est dans mon poème,
et
je m’immolerai à la vergue de
notre idylle
pour
exaucer
le plus délicat
de tes désirs !
Sophie 839
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