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Toi que j'aime.

#1
Toi que j'aime.

La nuit rêvait et dormait, Verlaine,
Écrivait le parfum d'un secret
Un soupçon de sucre si discret
Plus léger que le vent et l'haleine ;

C'était un novembre de l'année
Que demain ne sait plus comme mois
Vous dormiez, vous rêviez des émois
De la rose et la fleur d'or fanée ;

Qu'il fut loin de revoir la rosée
Et je vous écoutais respirer
Puis cela me suffit d'espérer
Comme vous une note épousée ;

Bien après que l'air du soir soupire
Chante l'air, j'écoute ce que tu ;
Tu disais de ce que j'aurais tu
si n'avais entendu ton cœur rire ;

Tu rêvais, le ciel dormait, Verlaine,
Écrivait ton parfum d'un secret
Un soupçon de sucre si discret
Plus léger que le vent, ton haleine ;

Me souviens mon amour ce novembre
Tu n'étais plus qu'une seule fleur
Pour mon cœur qui sans bruit d'un pleur
Préparait quelques vers or et ambre ;

Qu'il fut loin de revoir deposée
Cette fleur, j'écoutais respirer
Votre corps suffisait d'espérer
Comme moi d'une note rosée ;

Bien après que l'amour ne soupire
Chante l'air, je t'écoute espérer ;
Te disant que j'aime soupirer
Et revoir entendre ton cœur rire,

Et Verlaine écrire son poème
Sachant bien ce toujours et demain
L'avenir est sa ligne et ma main
Sur ton cœur, ô ma fleur toi que j'aime...

Daniel Beau le poète rêveur
13 septembre 2021
Inknotpad
Google Chrome
14:38
 

GABY73

Maître Poète
#2
Toi que j'aime.

La nuit rêvait et dormait, Verlaine,
Écrivait le parfum d'un secret
Un soupçon de sucre si discret
Plus léger que le vent et l'haleine ;

C'était un novembre de l'année
Que demain ne sait plus comme mois
Vous dormiez, vous rêviez des émois
De la rose et la fleur d'or fanée ;

Qu'il fut loin de revoir la rosée
Et je vous écoutais respirer
Puis cela me suffit d'espérer
Comme vous une note épousée ;

Bien après que l'air du soir soupire
Chante l'air, j'écoute ce que tu ;
Tu disais de ce que j'aurais tu
si n'avais entendu ton cœur rire ;

Tu rêvais, le ciel dormait, Verlaine,
Écrivait ton parfum d'un secret
Un soupçon de sucre si discret
Plus léger que le vent, ton haleine ;

Me souviens mon amour ce novembre
Tu n'étais plus qu'une seule fleur
Pour mon cœur qui sans bruit d'un pleur
Préparait quelques vers or et ambre ;

Qu'il fut loin de revoir deposée
Cette fleur, j'écoutais respirer
Votre corps suffisait d'espérer
Comme moi d'une note rosée ;

Bien après que l'amour ne soupire
Chante l'air, je t'écoute espérer ;
Te disant que j'aime soupirer
Et revoir entendre ton cœur rire,

Et Verlaine écrire son poème
Sachant bien ce toujours et demain
L'avenir est sa ligne et ma main
Sur ton cœur, ô ma fleur toi que j'aime...

Daniel Beau le poète rêveur
13 septembre 2021
Inknotpad
Google Chrome
14:38
Un superbe poème à votre muse, espérant qu'elle sache l'apprecier
Bien amicalement
Gaby