Toi mon ange, mon étoile
C’est dans le silence froid de tes mots
Que je me glisserai parmi les maux
Contemplant la rose éclos des murmures
Entrelacé par les rêves de ta présence
Des chemins que nous avons croisés
Sans jamais se lasser
Bercé par le parfum de ton étreinte qui se consume
A l’odeur éphémère d’une plume
Où rôde l’ennui
Quand j’écoute tombé la nuit
Ces contours si fragiles dévorant le temps
Flottant au vent
Sous les brises du printemps
Où valsent les mots que tu aimes tant
Dissipant les brumes de l’aurore
Où s’échappent les traces du bonheur
Pourrions-nous fixer un jour, toute une éternité
Le long des flots du bonheur de l’amour passé
L’écume des ondes profondes
Le silence des flots harmonieux des cieux
S’échappant des rivages sous la cadence d’une dance
Où viennent s’assoir nouveau les souvenirs de ton retour
Pourrions-nous prendre le temps d’effacer le temps
Sans jamais perdre la certitude, se soucier du malheur
L.Deléglise
C’est dans le silence froid de tes mots
Que je me glisserai parmi les maux
Contemplant la rose éclos des murmures
Entrelacé par les rêves de ta présence
Des chemins que nous avons croisés
Sans jamais se lasser
Bercé par le parfum de ton étreinte qui se consume
A l’odeur éphémère d’une plume
Où rôde l’ennui
Quand j’écoute tombé la nuit
Ces contours si fragiles dévorant le temps
Flottant au vent
Sous les brises du printemps
Où valsent les mots que tu aimes tant
Dissipant les brumes de l’aurore
Où s’échappent les traces du bonheur
Pourrions-nous fixer un jour, toute une éternité
Le long des flots du bonheur de l’amour passé
L’écume des ondes profondes
Le silence des flots harmonieux des cieux
S’échappant des rivages sous la cadence d’une dance
Où viennent s’assoir nouveau les souvenirs de ton retour
Pourrions-nous prendre le temps d’effacer le temps
Sans jamais perdre la certitude, se soucier du malheur
L.Deléglise
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