Toi, Luxure !
Quand ton nom glisse sur mes lèvres je ne peux te prononcer,
Car je ne sais mesurer ce qui t’anime au détriment d’aimer !
Cet amour fait d’exubérance sans fin pour amorcer
Ta jouissance, sans retenue, en plaisirs animés!
Toi, cet homme, t’assouvir, rien de plus, sans chercher
A comprendre ce qu’est parfois ta bestialité !
Appétit de la chair, jumelé aux vices perchés,
Sur la femme tu fais rivalité !
Quand ton plaisir indompté n’est gonflé que de lubricité
Tu es fauve bête, rien d’autre ne peut t’abaisser !
La luxure, ça y est, le mot est plébiscité
Sans complexe tu aimes l’embrasser !
Désormais, cousue de mensonges, ne fait que blasphémer,
Car gloutonnerie, avec faim, murmure la damnée
De tous les temps, les siècles, est condamnée
D’office, et sans distinction, c’est désaimer !
Tes lubies obsessionnelles font tes gestes, sans écosser
Les sentiments, tu n’en as pas, l’instinct en hochet
Constamment, en désir brûlant, bien accroché,
Arrimé à ce stade, l’Ange ne peut t’endosser !
Polymnie2
Quand ton nom glisse sur mes lèvres je ne peux te prononcer,
Car je ne sais mesurer ce qui t’anime au détriment d’aimer !
Cet amour fait d’exubérance sans fin pour amorcer
Ta jouissance, sans retenue, en plaisirs animés!
Toi, cet homme, t’assouvir, rien de plus, sans chercher
A comprendre ce qu’est parfois ta bestialité !
Appétit de la chair, jumelé aux vices perchés,
Sur la femme tu fais rivalité !
Quand ton plaisir indompté n’est gonflé que de lubricité
Tu es fauve bête, rien d’autre ne peut t’abaisser !
La luxure, ça y est, le mot est plébiscité
Sans complexe tu aimes l’embrasser !
Désormais, cousue de mensonges, ne fait que blasphémer,
Car gloutonnerie, avec faim, murmure la damnée
De tous les temps, les siècles, est condamnée
D’office, et sans distinction, c’est désaimer !
Tes lubies obsessionnelles font tes gestes, sans écosser
Les sentiments, tu n’en as pas, l’instinct en hochet
Constamment, en désir brûlant, bien accroché,
Arrimé à ce stade, l’Ange ne peut t’endosser !
Polymnie2