Toi et Moi sans fin
J'ajoute ici, le pourquoi de ce poème :
C'est suite à ton poème Jojo,
concernant la moralité
objet de ton poème de 2017
lorsque je t'ai demandé si je pouvais m'en servir
pour faire un autre poème représentant le symbolique !
"oui tu le sais, c'est avec plaisir, tu me montreras ton écrit!
Je n'ai pas voulu te le mettre immédiatement,
pour avoir une autre vision que j'ai donnée!
Je le fais à retardement car je n'ai pas retrouvé sa copie
sur l'ordinateur!
Pardonne-moi ce retard, mais je pense qu'avec recul
tout est simplifié dans nos têtes et que
ton sujet vient à point!
Toi et moi sans fin concerne
uniquement la parabole!
Tout ce que tu fais à l'Autre, c'est à moi-même que tu le fais!
__________
Il me vient des parfums issus d’âmes profondes
Une fable ? un roman ? ou conte en mémoire
Qui retient ce fabuleux tableau que je sonde,
Tenant à vous faire connaître son pur ivoire !
J'ajoute ici, le pourquoi de ce poème :
C'est suite à ton poème Jojo,
concernant la moralité
objet de ton poème de 2017
lorsque je t'ai demandé si je pouvais m'en servir
pour faire un autre poème représentant le symbolique !
"oui tu le sais, c'est avec plaisir, tu me montreras ton écrit!
Je n'ai pas voulu te le mettre immédiatement,
pour avoir une autre vision que j'ai donnée!
Je le fais à retardement car je n'ai pas retrouvé sa copie
sur l'ordinateur!
Pardonne-moi ce retard, mais je pense qu'avec recul
tout est simplifié dans nos têtes et que
ton sujet vient à point!
Toi et moi sans fin concerne
uniquement la parabole!
Tout ce que tu fais à l'Autre, c'est à moi-même que tu le fais!
__________
Il me vient des parfums issus d’âmes profondes
Une fable ? un roman ? ou conte en mémoire
Qui retient ce fabuleux tableau que je sonde,
Tenant à vous faire connaître son pur ivoire !
Tous mes mots passeront au pays du sourire
Surnommé par certains, dons de « Naturaimée »
Là où baigne un soleil sans ne jamais mourir
Car lune resplendit en son ciel animé !
Surnommé par certains, dons de « Naturaimée »
Là où baigne un soleil sans ne jamais mourir
Car lune resplendit en son ciel animé !
Vivait, régnant, un couple amoureux d’une ferme,
La splendeur des verts en beaux sillons tracés :
Lui, se voit chez ses grands-parents sur terre ferme,
Elle, n’en croit pas ses yeux sous ce ciel, enlacés !
La splendeur des verts en beaux sillons tracés :
Lui, se voit chez ses grands-parents sur terre ferme,
Elle, n’en croit pas ses yeux sous ce ciel, enlacés !
Quand tinte dès l’aube, l’amour aux jours qui s’aiment,
Il est comme la faim entretenant les champs,
Il est envergure que Dame Nature sème
Et distribue la sève du levant au couchant !
Il est comme la faim entretenant les champs,
Il est envergure que Dame Nature sème
Et distribue la sève du levant au couchant !
C’est ainsi qu’en un roi, sa reine danse un air
« Des Milles et une nuit » recherchent la lumière
Messagère éclairant l’ennui en débonnaire !
Noël approchant, scintillent les chaumières !
Le roi s’afflige, l’esprit sans rémission se désole!
En peine de trouver, lui vint la riche idée
De se confier à l’humble ami, l’intime, console,
Surnommé Pierrefendre ! le seul qui puisse l’aider.
Que me-veux-tu frère ? « Un rien qu’un tout complique !
« Voici les fêtes, avec elles l’obole à garnir !
« Rien, m’inspire en désirs et mes pieux domestiques
« Ne peuvent m’aider ! Ma tête cesse de frémir !
« Des Milles et une nuit » recherchent la lumière
Messagère éclairant l’ennui en débonnaire !
Noël approchant, scintillent les chaumières !
Le roi s’afflige, l’esprit sans rémission se désole!
En peine de trouver, lui vint la riche idée
De se confier à l’humble ami, l’intime, console,
Surnommé Pierrefendre ! le seul qui puisse l’aider.
Que me-veux-tu frère ? « Un rien qu’un tout complique !
« Voici les fêtes, avec elles l’obole à garnir !
« Rien, m’inspire en désirs et mes pieux domestiques
« Ne peuvent m’aider ! Ma tête cesse de frémir !
Après multi réflexions sur Connaissance infuse,
Un éclair sur le front fuse : « J’ai ce qu’il te faudrait.
« Un coffret d’or magique, à la science de muse,
« Ton âme ne peut qu’adhérer au poudrier* !
« Pense à réaliser un souhait pour un ami !
« Voilà vive raison, mais où le trouver » ?
« A la veillée de Noël, d’amour chacun gémit !
« Je serai avec toi aussi, j’aurai l’écrin, sa clé » !
Elle a le pouvoir de tourner la serrure
Dès qu’une pensée est lestée vers l’extérieur,
Elle est-aimant-si-paix sur l’âme sans usure,
L’écrin ne s’ouvrira qu’au regard intérieur.
Un éclair sur le front fuse : « J’ai ce qu’il te faudrait.
« Un coffret d’or magique, à la science de muse,
« Ton âme ne peut qu’adhérer au poudrier* !
« Pense à réaliser un souhait pour un ami !
« Voilà vive raison, mais où le trouver » ?
« A la veillée de Noël, d’amour chacun gémit !
« Je serai avec toi aussi, j’aurai l’écrin, sa clé » !
Elle a le pouvoir de tourner la serrure
Dès qu’une pensée est lestée vers l’extérieur,
Elle est-aimant-si-paix sur l’âme sans usure,
L’écrin ne s’ouvrira qu’au regard intérieur.
La soirée pleine écoute dans le silence planant,
Tout semble virginal sous un manteau velours,
File nuptiale, la marche vers le trésor émanant
Sous l’éclairage d’un cierge au flambeau glanant !
Tout semble virginal sous un manteau velours,
File nuptiale, la marche vers le trésor émanant
Sous l’éclairage d’un cierge au flambeau glanant !
Se succèdent les voeux de bonheur à venir !
Et chacun fait l’essai-clé avec son message :
« Le forgeron souhaite créer pour agrandir,
Faire naître son art dans le forgeage !
Et chacun fait l’essai-clé avec son message :
« Le forgeron souhaite créer pour agrandir,
Faire naître son art dans le forgeage !
« Le jardinier désire une charrette, des outils !
« Le pâtissier voudrait une nouvelle vitrine !
« L’épicier veut vernir tous rayons futiles !
« L’horloger vise surtout un chalet sur colline,
« Le pâtissier voudrait une nouvelle vitrine !
« L’épicier veut vernir tous rayons futiles !
« L’horloger vise surtout un chalet sur colline,
Passera ses vieux jours à jouir à l’entour.
Et les gens poursuivent leur chapelet distant !
Quand arrive en fin de procession un Paysan
Marchant à pas lents, la tête à ses pieds se noue.
Et les gens poursuivent leur chapelet distant !
Quand arrive en fin de procession un Paysan
Marchant à pas lents, la tête à ses pieds se noue.
Il voit la clé d’amour, lui qui n’espère rien
Sauf aider ses parents accablés de soucis,
Pour ses frères, ouvrit les portes d’Ecoles de biens
Et pour ses deux petites sœurs, moins de froid aussi
Sauf aider ses parents accablés de soucis,
Pour ses frères, ouvrit les portes d’Ecoles de biens
Et pour ses deux petites sœurs, moins de froid aussi
Malgré le chaud de tous les cœurs compatissants.
Le mystère entourant sa clé, la tourne en fée ;
Instant magique se révèle pleine aura sur le Paysan !
Tremblant, il remercie du Ciel, Pierrefendre !
Le mystère entourant sa clé, la tourne en fée ;
Instant magique se révèle pleine aura sur le Paysan !
Tremblant, il remercie du Ciel, Pierrefendre !
Se prosterne à genoux, les mains jointes à se fendre !
Avec un Alléluia qui ne résonne que très haut
Sur silencieux, se terre, mais se pose à refendre
Le Suprême d’orfroi dès l’envol d’un angelot.
Avec un Alléluia qui ne résonne que très haut
Sur silencieux, se terre, mais se pose à refendre
Le Suprême d’orfroi dès l’envol d’un angelot.
Polymnie2, le 13 Octobre 2018
fait le 9 décembre 2017
Poudrier = dans le sens de sortir une vérité d’un tout !
La richesse d'embellir.
Moralité
Tout ce que tu fais pour, contre, l’Autre C’est à moi-même que tu le fais !
fait le 9 décembre 2017
Poudrier = dans le sens de sortir une vérité d’un tout !
La richesse d'embellir.
Moralité
Tout ce que tu fais pour, contre, l’Autre C’est à moi-même que tu le fais !
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