La maladie
Détruit ta vie
Quand elle survient
Tu t’y attends le moins.
Elle t’a rencontrée subitement,
Elle t’a attaquée violemment,
Dans ton sang, son nid, elle a choisi
Tu as alors rencontré ta leucémie.
Accablée par la maladie, tu étais
La leucémie de l’intérieur te rongeait
Branchée toute la journée
Une chimio s’imposait.
Tu en voulais au monde entier
Seul toi tu supportais
Les autres tu envoyais balader
Mais nous tous on comprenait.
Je comprenais ta souffrance
Et la longue absence
De la vie normale
Tout juste banale.
Heureusement, tu as été guérie
Tu as réussi à combattre la maladie
Après t’avoir retrouvée
Je t’ai trouvée changée.
Ce changement, je comprenais
Mais l’égoïsme, je ne pouvais supporter
Seul à toi tu pensais
Les autres tu t’en fichais.
Il est temps aujourd’hui
Vraiment, je t’en pris
Redeviens ma meilleure amie
A tout jamais pour la vie.
Si tu ne changes pas
Le choix, je n’aurai pas
Même si tu n’as que moi
Je ne resterai pas.
Notre grande amitié
Je m’en souviendrai
Et je n’oublierai pas
Tous nos rires et nos joies.
Clémence, à toi à jamais
J’espère qu’un jour tu voudras changer.
Détruit ta vie
Quand elle survient
Tu t’y attends le moins.
Elle t’a rencontrée subitement,
Elle t’a attaquée violemment,
Dans ton sang, son nid, elle a choisi
Tu as alors rencontré ta leucémie.
Accablée par la maladie, tu étais
La leucémie de l’intérieur te rongeait
Branchée toute la journée
Une chimio s’imposait.
Tu en voulais au monde entier
Seul toi tu supportais
Les autres tu envoyais balader
Mais nous tous on comprenait.
Je comprenais ta souffrance
Et la longue absence
De la vie normale
Tout juste banale.
Heureusement, tu as été guérie
Tu as réussi à combattre la maladie
Après t’avoir retrouvée
Je t’ai trouvée changée.
Ce changement, je comprenais
Mais l’égoïsme, je ne pouvais supporter
Seul à toi tu pensais
Les autres tu t’en fichais.
Il est temps aujourd’hui
Vraiment, je t’en pris
Redeviens ma meilleure amie
A tout jamais pour la vie.
Si tu ne changes pas
Le choix, je n’aurai pas
Même si tu n’as que moi
Je ne resterai pas.
Notre grande amitié
Je m’en souviendrai
Et je n’oublierai pas
Tous nos rires et nos joies.
Clémence, à toi à jamais
J’espère qu’un jour tu voudras changer.
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