Tient ! Le printemps, l’âme malade.
Enfin ! Je sors de ma carapace,
Je me rends sur mon balcon,
Evanouis, tous les petits flocons,
Le beau ciel d’azur prit la place.
J’veux ranger ma coccinelle en peluche,
Mars revenu, pour faire la guerre au virus,
Attestation, un renouveau sur Papyrus,
J’n’vais pas pouvoir ôter mes fanfreluches,
Fin des neiges, fin des frimas, la quiétude,
Pâques revient, dans l’égarement du chocolat,
Trafiquons ! Fabriquons ! Mon apostolat,
Il me faut grignoter pour plus de plénitude.
Quelle déception, fallait-il imiter les dindes,
Ne plus pouvoir bondir, se préparer pour la sortie,
Marre d’une vie encore et toujours assujettie,
Pour nous faire dorer au radieux soleil des indes.
Faire fuir la rumeur, les zygomatiques en fleur,
En septembre, déjà, pas pu faire les vendanges,
Ramolli, j’existe, j’veux disposer des vents d’ange,
D’excuses, je me confonds, affaibli sans couleur.
Enfin ! Je sors de ma carapace,
Je me rends sur mon balcon,
Evanouis, tous les petits flocons,
Le beau ciel d’azur prit la place.
J’veux ranger ma coccinelle en peluche,
Mars revenu, pour faire la guerre au virus,
Attestation, un renouveau sur Papyrus,
J’n’vais pas pouvoir ôter mes fanfreluches,
Fin des neiges, fin des frimas, la quiétude,
Pâques revient, dans l’égarement du chocolat,
Trafiquons ! Fabriquons ! Mon apostolat,
Il me faut grignoter pour plus de plénitude.
Quelle déception, fallait-il imiter les dindes,
Ne plus pouvoir bondir, se préparer pour la sortie,
Marre d’une vie encore et toujours assujettie,
Pour nous faire dorer au radieux soleil des indes.
Faire fuir la rumeur, les zygomatiques en fleur,
En septembre, déjà, pas pu faire les vendanges,
Ramolli, j’existe, j’veux disposer des vents d’ange,
D’excuses, je me confonds, affaibli sans couleur.