Quelle douce mélodie que d'entendre ce prénom !
Thyshia, c'est ainsi qu'elle se nomme,
Cette jolie jeune fée qui n'avait pas de nom,
Fille de la splendide Shyvia et du très beau Mélome.
Dans le village des fées, la jeune Thyshia s'ennuie.
Elle veut quitter cette vie, pour une autre inconnue.
La jeune fée demande à sa mère, l'ingénue,
L'autorisation simple, de vivre à Issischy.
C'est la ville des hommes, sa mère ne veut pas,
Elle les trouve impurs et leur âme est si noire.
La jeune fée passe autre et puis elle s'en va,
Vers un autre avenir, plein de nouveaux espoirs !
En sortant prudemment de la forêt enchantée,
Elle scruta la clairière pour rejoindre la ville.
Et son esprit s'évade, vers la magie il file.
Elle pénètre Issischy, un monde de toute beauté.
Son coeur entrecroisé, de sentiments étranges,
Elle vit dans un rêve, magnifique mélange.
Elle se dit que les hommes sont êtres surprenants
Ils savaient faire merveilles, avec peu de temps.
Un jours, elle rencontre dans cette ville étrange,
Des hommes à la dégaine un p'tit peut déroutante.
Ils portent des cuirasses, ils ressemblent à des anges,
Mais ils vont à la guerre, pour garder une entente.
Intriguée par le mot, qu'elle ne connait pas,
Thyshia décide de suivre, ces hommes au combat.
Lorsque fasse à l'armée, la jeune fée se retrouve,
Son regard se perd, et la mort elle découvre.
Son coeur se teinte de noir et elle ne comprend pas,
Pourquoi des êtres si douées de leurs mains,
Peuvent se tuer entre eux, pour sauver leur destin,
Alors qu'il serait mieux, de cesser le combat !
La jeune fée retourne à la ville d'Issischy,
Pour déverser sa peine, dans un bien triste seau.
Elle pleur tellement, que son âme se détruit,
Elle périt lentement et sait que c'est trop tôt.
Thyshia s'éloigne de la ville, avec son seau qui suit,
Elle meurt un peu plus loin, juste en dessous d'un saule.
Son âme vient à s'éteindre, plus tard dans la nuit.
Un homme atteint son corps, et le prend aux épaules.
Il pleure cette fée qu'il ne connaissait pas,
Et soudain apparaît, une superbe fontaine.
Il s'en retourne vers elle et son eau, il la boit,
Devient un homme fée, car son coeur n'est pas haine.
Si un jour vous croisez cette jolie fontaine,
Ne buvez pas son eau si vous êtes en haine.
Elle ne sait que guérir, les maux et puis les peines,
Celles qui viennent du coeur, et puis celle qui saignent.
Thyshia, c'est ainsi qu'elle se nomme,
Cette jolie jeune fée qui n'avait pas de nom,
Fille de la splendide Shyvia et du très beau Mélome.
Dans le village des fées, la jeune Thyshia s'ennuie.
Elle veut quitter cette vie, pour une autre inconnue.
La jeune fée demande à sa mère, l'ingénue,
L'autorisation simple, de vivre à Issischy.
C'est la ville des hommes, sa mère ne veut pas,
Elle les trouve impurs et leur âme est si noire.
La jeune fée passe autre et puis elle s'en va,
Vers un autre avenir, plein de nouveaux espoirs !
En sortant prudemment de la forêt enchantée,
Elle scruta la clairière pour rejoindre la ville.
Et son esprit s'évade, vers la magie il file.
Elle pénètre Issischy, un monde de toute beauté.
Son coeur entrecroisé, de sentiments étranges,
Elle vit dans un rêve, magnifique mélange.
Elle se dit que les hommes sont êtres surprenants
Ils savaient faire merveilles, avec peu de temps.
Un jours, elle rencontre dans cette ville étrange,
Des hommes à la dégaine un p'tit peut déroutante.
Ils portent des cuirasses, ils ressemblent à des anges,
Mais ils vont à la guerre, pour garder une entente.
Intriguée par le mot, qu'elle ne connait pas,
Thyshia décide de suivre, ces hommes au combat.
Lorsque fasse à l'armée, la jeune fée se retrouve,
Son regard se perd, et la mort elle découvre.
Son coeur se teinte de noir et elle ne comprend pas,
Pourquoi des êtres si douées de leurs mains,
Peuvent se tuer entre eux, pour sauver leur destin,
Alors qu'il serait mieux, de cesser le combat !
La jeune fée retourne à la ville d'Issischy,
Pour déverser sa peine, dans un bien triste seau.
Elle pleur tellement, que son âme se détruit,
Elle périt lentement et sait que c'est trop tôt.
Thyshia s'éloigne de la ville, avec son seau qui suit,
Elle meurt un peu plus loin, juste en dessous d'un saule.
Son âme vient à s'éteindre, plus tard dans la nuit.
Un homme atteint son corps, et le prend aux épaules.
Il pleure cette fée qu'il ne connaissait pas,
Et soudain apparaît, une superbe fontaine.
Il s'en retourne vers elle et son eau, il la boit,
Devient un homme fée, car son coeur n'est pas haine.
Si un jour vous croisez cette jolie fontaine,
Ne buvez pas son eau si vous êtes en haine.
Elle ne sait que guérir, les maux et puis les peines,
Celles qui viennent du coeur, et puis celle qui saignent.