Terre en Folie
Auréolée de gloire,
Tu apparais, si froide ;
Comment peut-on deviner,
Que, peu à peu, tu disparais.
Tes rivières, si jolies, autrefois,
Ne chantent plus, dans les bois,
Détournées de leur lit naturel,
Prenant des chemins irréels.
Ecoeurée et amère,
La mer, en furie, se déchaîne,
Jetant aux mouettes, qui volent,
Des poissons pollués de pétrole.
Même tes cieux illuminés,
Ont perdu toute leur beauté,
Quand on sait que peut tomber,
Des débris, de navettes explosées.
Tu n’es plus la Terre,
Qu’enfant, j’ai aimé,
Tu n’es plus qu’un point, qui erre,
Dans l’espace, tout pollué.
Reve51
Auréolée de gloire,
Tu apparais, si froide ;
Comment peut-on deviner,
Que, peu à peu, tu disparais.
Tes rivières, si jolies, autrefois,
Ne chantent plus, dans les bois,
Détournées de leur lit naturel,
Prenant des chemins irréels.
Ecoeurée et amère,
La mer, en furie, se déchaîne,
Jetant aux mouettes, qui volent,
Des poissons pollués de pétrole.
Même tes cieux illuminés,
Ont perdu toute leur beauté,
Quand on sait que peut tomber,
Des débris, de navettes explosées.
Tu n’es plus la Terre,
Qu’enfant, j’ai aimé,
Tu n’es plus qu’un point, qui erre,
Dans l’espace, tout pollué.
Reve51