Face à cet oubli qui s'installe
Avec ce coeur perdu dans les dédalles
De la vie qui passe, indifférente
De laisser une pauvre âme errante
Mais .. un regard, un sourire fêlé
Qui s'attachent à tes prunelles rougies
Et noyées de larmes refoulées
Eperdues de trouver encore un ami
Face à l'insondable douleur
Rejeté de la table de l'amour
L'esprit accablé en ces jours
Qui se traînent sans fin ni détour
Mais .. une main douce et fragile
Qui se tend vers l'ignoble malheur
Dernier espoir ténu comme le fil
Qui rejoint le retour du bonheur
Quand toute chose part et se perd
Que s'écroulent les murs tant élaborés
Qu'il reste au moins sur cette terre
Le fort et subtil parfum de l'Amitié
Avec ce coeur perdu dans les dédalles
De la vie qui passe, indifférente
De laisser une pauvre âme errante
Mais .. un regard, un sourire fêlé
Qui s'attachent à tes prunelles rougies
Et noyées de larmes refoulées
Eperdues de trouver encore un ami
Face à l'insondable douleur
Rejeté de la table de l'amour
L'esprit accablé en ces jours
Qui se traînent sans fin ni détour
Mais .. une main douce et fragile
Qui se tend vers l'ignoble malheur
Dernier espoir ténu comme le fil
Qui rejoint le retour du bonheur
Quand toute chose part et se perd
Que s'écroulent les murs tant élaborés
Qu'il reste au moins sur cette terre
Le fort et subtil parfum de l'Amitié