Spleen
Tout est clos. Les placards sentent les fruits
Les volets sont fermés au vent d’aventure
Les arbres sont morts, revanche de la nuit
Calme et morne, sur le toit, le chat n’est plus
Tout dort même le mystère, du grenier d’hier
Inexorables tourments, qui sifflent et qui tuent
Gloires, carnaval et jouets, des grands enfants
Se perdent embourbés sur les planchers cirés
Se figent mes doigts sur ce chemin du retour ans
Devant ces temps perdus, je suis seul et contemple
Mes inutiles chants d’aventures, loin, si lointaines
Tombent mes combats qui meurent, sans exemple
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