Je t’emmène avec moi
Dans un lit de sable
Là, dans ce petit monde
Cousu à l’envers
Sur la grève, pardonne-moi
Je prends, de nacre, une oreille
Je l’écouterais me dire
Ses refrains d’eau de pluie
Sur les embruns des rues
Desséchés de frissons
Un instant, donne-moi
Que je m’enduise un peu
De la douceur de ta peau
Sur laquelle la chaleur
A si bien sommeillée
Sa robe de blond clair
Me farde d’étoiles
Sous ces cieux
Je suis grande dame
Sans grade le prouvant.
Un aurevoir,
Bien malgré moi,
Je t’offre.
Je dois partir
Ne m’en veux pas.
Je garde le souvenir
De tes courbes ondulées
Qui chaque fois m’émerveille
De sa fougue familière
Ce soir, je prêterai l’oreille
Pour entendre le galop de tes vagues.
J’attendrai que la marée me couvre
De sa housse légère
Puis je fermerai mes yeux
Avec toi à mes côtés
Dans un lit de sable
Là, dans ce petit monde
Cousu à l’envers
Sur la grève, pardonne-moi
Je prends, de nacre, une oreille
Je l’écouterais me dire
Ses refrains d’eau de pluie
Sur les embruns des rues
Desséchés de frissons
Un instant, donne-moi
Que je m’enduise un peu
De la douceur de ta peau
Sur laquelle la chaleur
A si bien sommeillée
Sa robe de blond clair
Me farde d’étoiles
Sous ces cieux
Je suis grande dame
Sans grade le prouvant.
Un aurevoir,
Bien malgré moi,
Je t’offre.
Je dois partir
Ne m’en veux pas.
Je garde le souvenir
De tes courbes ondulées
Qui chaque fois m’émerveille
De sa fougue familière
Ce soir, je prêterai l’oreille
Pour entendre le galop de tes vagues.
J’attendrai que la marée me couvre
De sa housse légère
Puis je fermerai mes yeux
Avec toi à mes côtés
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