Haïku ;
J’ai pour souvenirs
Au reflet d’un doux printemps
Le calme d’un rêve.
Au reflet d’un doux printemps
Le calme d’un rêve.
Rimes suivies ;
Je n’ai pour souvenir que maintes photos d’elle
Pour garder dans mon cœur sa vie un peu rebelle
Si le silence veille à l’écoute du vent,
Je n’ai pu dévoiler ce désir en rêvant
Sous l’éther envoûté par l’esprit de la lune,
Ce côté du versant où l’étoile importune
Le reflet de la mer dans son regard bleuté,
Que ravive un bel air d’un beau jour fleureté.
Une larme assourdie en la rive dès l’aube,
On ne voit plus le mal que la lueur dérobe,
Ô douce muse ailée en l’ivresse chaleur !
Ce poème futile au contour ciseleur
Se trompe du destin visitant l’ignorance
Quand le monde s’écoute et promet l’espérance.
Pour garder dans mon cœur sa vie un peu rebelle
Si le silence veille à l’écoute du vent,
Je n’ai pu dévoiler ce désir en rêvant
Sous l’éther envoûté par l’esprit de la lune,
Ce côté du versant où l’étoile importune
Le reflet de la mer dans son regard bleuté,
Que ravive un bel air d’un beau jour fleureté.
Une larme assourdie en la rive dès l’aube,
On ne voit plus le mal que la lueur dérobe,
Ô douce muse ailée en l’ivresse chaleur !
Ce poème futile au contour ciseleur
Se trompe du destin visitant l’ignorance
Quand le monde s’écoute et promet l’espérance.
Maria-Dolores