Derrière mon sourire abject et délétère
rayonne en reine ma sournoiserie
Déluge d’émotion, brise de colère
dans ma haute point de confiseries
Mais des mots justes, longuement réfléchis
Qui viennent, gonfler de haine
Vous piquer au vifs sans préavis
Sadisme d’assassin qui crache son venin
Sous mes étreinte se cache la dague
Le rapprochement de ma lame
Qui tel un serpent ou une vague
Se faufile derrière votre âme
Je sens en moi monter le vice
L’étreinte de la mort me divertis
Quand sous mon encre créatrice
Se livre toute la décadence d’autrui
J’hume alors le parfum de la joie
En brulant d’intention de l’éteindre
Ne restes alors que l’effroi
La cendre d’un avant qui n’est plus à plaindre
rayonne en reine ma sournoiserie
Déluge d’émotion, brise de colère
dans ma haute point de confiseries
Mais des mots justes, longuement réfléchis
Qui viennent, gonfler de haine
Vous piquer au vifs sans préavis
Sadisme d’assassin qui crache son venin
Sous mes étreinte se cache la dague
Le rapprochement de ma lame
Qui tel un serpent ou une vague
Se faufile derrière votre âme
Je sens en moi monter le vice
L’étreinte de la mort me divertis
Quand sous mon encre créatrice
Se livre toute la décadence d’autrui
J’hume alors le parfum de la joie
En brulant d’intention de l’éteindre
Ne restes alors que l’effroi
La cendre d’un avant qui n’est plus à plaindre