Sourire à l’exam… (d'après ??)
Ton béguin ultime au vers te rempli démesurément,
Fermer tes textes est la raison des autres,
Profite de cette trêve actuellement,
Ta suave prière est aussi la nôtre.
Reste ici, leur prouver l’espérance,
Dans cette ronde actuelle de notre destin,
Persister là, a une autre influence,
Gagner le respect des autres demain.
Rafler les rires que les autres figent,
Par la banque d’allégresse pour les faire rouspéter,
Toujours, tu as été celle des vertiges,
T’abattre, c’est raté, on est à tes cotés.
Petite souris, tu veux encore te taire,
De quelques uns, t’as dès lors la haine,
Alors que t’es l’amour exemplaire,
D’une bande d’amuseur, femme humaine.
D’un pas à l’autre, danse donc ce tango,
Celui qui peut-être fera dresser tes tresses,
J’aime tellement tes délires rigolos,
Et même tes instants de pure tendresse.
Aucune raison n’est à donner aux amis bonheurs,
Croit bien sûr qu’eux sont sincères,
La raison du site en est leur valeur,
Ces bêtes là ne sont pas nos frères.
Ton béguin ultime au vers te rempli démesurément,
Fermer tes textes est la raison des autres,
Profite de cette trêve actuellement,
Ta suave prière est aussi la nôtre.
Reste ici, leur prouver l’espérance,
Dans cette ronde actuelle de notre destin,
Persister là, a une autre influence,
Gagner le respect des autres demain.
Rafler les rires que les autres figent,
Par la banque d’allégresse pour les faire rouspéter,
Toujours, tu as été celle des vertiges,
T’abattre, c’est raté, on est à tes cotés.
Petite souris, tu veux encore te taire,
De quelques uns, t’as dès lors la haine,
Alors que t’es l’amour exemplaire,
D’une bande d’amuseur, femme humaine.
D’un pas à l’autre, danse donc ce tango,
Celui qui peut-être fera dresser tes tresses,
J’aime tellement tes délires rigolos,
Et même tes instants de pure tendresse.
Aucune raison n’est à donner aux amis bonheurs,
Croit bien sûr qu’eux sont sincères,
La raison du site en est leur valeur,
Ces bêtes là ne sont pas nos frères.
