Son dos.
Sur sa chair où le roc reçoit l'ombrage fin
De corail parsemé, d'une lente cadence
Sa chevelure bat dans une décadence
Folle cet océan bruni de ciel surfin,
Comme ces hauts soleils qui suivant le couffin
Des mers vont parfumer les récifs de Florence,
Ce trophée éclatant est comme une évidence
De sable parfumé d'arôme séraphin ;
Quel orgueil se voudrait la taire qu'il ne pût,
Car Sa toute beauté de tout l'or qu'il m'en fût
N'existerait ici, pour l'une plus jolie,
Dont j'aime les reflets de voiliers absidaux
Le dessinant le soir d'un air de Podolie,
Et que ma main s'y meurt aux gloires de ce dos...
Daniel beau le poète rêveur
23 mars 2018
Inknotpad
Google Chrome
18:20
Sur sa chair où le roc reçoit l'ombrage fin
De corail parsemé, d'une lente cadence
Sa chevelure bat dans une décadence
Folle cet océan bruni de ciel surfin,
Comme ces hauts soleils qui suivant le couffin
Des mers vont parfumer les récifs de Florence,
Ce trophée éclatant est comme une évidence
De sable parfumé d'arôme séraphin ;
Quel orgueil se voudrait la taire qu'il ne pût,
Car Sa toute beauté de tout l'or qu'il m'en fût
N'existerait ici, pour l'une plus jolie,
Dont j'aime les reflets de voiliers absidaux
Le dessinant le soir d'un air de Podolie,
Et que ma main s'y meurt aux gloires de ce dos...
Daniel beau le poète rêveur
23 mars 2018
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