Somme en tour, «menthé» ! (D’après sieste tormentée ! de Lilasys)
La fermière calfeutrée ce jour, je ne me souviens de rien,
Une livre d’anis, dès demain, infusé par l’usage,
Qu’un calcul fluet semblait être à jamais le moyen,
Adressant son ouverture départie en de bons adages.
Il formait sous elle une agape à retomber en gamin,
La comtesse comparait tous les vieux bien sombres,
Sa grandeur foisonnante, éprise sans doute par mon carmin,
Captivée par cette vie d’éclairs de ces douleurs en nombre.
Parfois poupée sauvage, parfois remis de son bourdon,
Comme si un rentier ramenait le sucrier pour faire ripaille,
La vieille gourmande posée sur le lit sans pantalon,
Le pétard hélas coincé dans des rainures de terre et de paille.
Ce fut lois au sceau à élire pour ce garçon aux pois sourds,
Sûr, sautant sur son prépuce, épris d’une bonne première !
Sa vie sage, j’en doute, décuplait l’envie de son petit bourg,
En exquis le goût franc, boisé de nos pères, la bannière .
Sieste tourmentée ! de Lilasys
La LUMIERE feutrée de ce jour, je m’en souviens bien,
Un LIVRE jaunis dans ses mains, usé par des âges,
Dont l’enfant MUET semblait être à jamais le doyen,
Caressant sa couverture, partie en de longs voyages.
Il dormait sous l’AILE d’une grappe retombée de jasmin,
Une MOLLESSE s’emparait de ses yeux sous l’ombre,
Sa candeur frissonnante prise sans doute en mi chemin,
CAPTURER, cette envie d’éclaircir cette couleur sombre.
Parfois une épopée sauvage, parfois soumis à l’ABANDON,
Comme si un sentier le menait guerrier vers la bataille,
L’abeille GOURMANDE posée sur le pli de son pantalon,
Le dard hélas, coincé dans ses rayures en serre-taille.
Ce fut l’OISEAU lyre comme le klaxon d’un poids lourd,
Sursautant comme une puce, pris d’une grande colère,
Son visage douteux scrutait papy croyant au calembour,
En croquis la couleur FRAMBOISE d’une sphère armillaire.
LILASYS
La fermière calfeutrée ce jour, je ne me souviens de rien,
Une livre d’anis, dès demain, infusé par l’usage,
Qu’un calcul fluet semblait être à jamais le moyen,
Adressant son ouverture départie en de bons adages.
Il formait sous elle une agape à retomber en gamin,
La comtesse comparait tous les vieux bien sombres,
Sa grandeur foisonnante, éprise sans doute par mon carmin,
Captivée par cette vie d’éclairs de ces douleurs en nombre.
Parfois poupée sauvage, parfois remis de son bourdon,
Comme si un rentier ramenait le sucrier pour faire ripaille,
La vieille gourmande posée sur le lit sans pantalon,
Le pétard hélas coincé dans des rainures de terre et de paille.
Ce fut lois au sceau à élire pour ce garçon aux pois sourds,
Sûr, sautant sur son prépuce, épris d’une bonne première !
Sa vie sage, j’en doute, décuplait l’envie de son petit bourg,
En exquis le goût franc, boisé de nos pères, la bannière .
Sieste tourmentée ! de Lilasys
La LUMIERE feutrée de ce jour, je m’en souviens bien,
Un LIVRE jaunis dans ses mains, usé par des âges,
Dont l’enfant MUET semblait être à jamais le doyen,
Caressant sa couverture, partie en de longs voyages.
Il dormait sous l’AILE d’une grappe retombée de jasmin,
Une MOLLESSE s’emparait de ses yeux sous l’ombre,
Sa candeur frissonnante prise sans doute en mi chemin,
CAPTURER, cette envie d’éclaircir cette couleur sombre.
Parfois une épopée sauvage, parfois soumis à l’ABANDON,
Comme si un sentier le menait guerrier vers la bataille,
L’abeille GOURMANDE posée sur le pli de son pantalon,
Le dard hélas, coincé dans ses rayures en serre-taille.
Ce fut l’OISEAU lyre comme le klaxon d’un poids lourd,
Sursautant comme une puce, pris d’une grande colère,
Son visage douteux scrutait papy croyant au calembour,
En croquis la couleur FRAMBOISE d’une sphère armillaire.
LILASYS