Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Soirée carnaval

Polymnie2

Maître Poète
#1
1524474973856.png
Soirée carnaval

je faisais de l'humour mais
combien réalité existe en relisant aujourd'hui!!


Texte que j’ai fait en 2013
Après une envolée plus haut la nuit !
Je ne connais rien du ciel, ni les fonctions
Des étoiles !​

Pardon mon Clochard Crasseux
C’est un vieux texte jamais posé en attente
dans mes poèmes récupérés
.
_______


Prise en écharpe je pars en flèche
L’étoile polaire me dépêche :

« Plus à droite, la filante m’attend » !

Brille au loin une étoile d’argent
Qui me dit :

« Rapide je suis,
Laisse moi te guider
Je suis ton ange téléguidé !
Les chariots sont trop lents
Petite ourse sème tous talents
Mais grande ourse freine l’élan » !

Moi,

Ta sœur qui nous prend en radar
Que fait-elle ?


C’est l’étoile star
Qui charme faisant de superbes grands écarts.
Elle excelle dans l’arc-en-ciel
Dès soleil couché, prend lune pour phare
Et jette sur terre ses jeux préférentiels !


Je t’emmène au paradis
Tu verras grand carnaval
Car aujourd’hui c’est mardi !
Les saints se costument tout en gras
Prenant vos images et les plus hardies !
Notamment vos consternations en dévotions
Nous trouvons difficulté à cerner vos images
Qui ne pourraient que troubler nos fêtes !
Inachevés dans leurs desseins masqués !
Nous cherchons en certains regards,
Si la pression que vous leur donnez
Se pose, en cicatrice pour panser,
Interpeler les êtres ou choses
Tendres et subtils !

Cet infini circulant jusqu’en vos lèvres !
Ce précieux apparaissant le temps d’un soupir
Et sa magie se mourant délicatement pour fondre
Dans son éclat jusqu’au bout de chaque doigt, et
Dans le creux de la main tendue vide, se lâche
L’aumône, tel un Missel dit ses prières !

Que de symboles restent encore fermés !
Que d’incompréhensions encore fourmillent
En certains qui n’ont d’yeux que pour flamber !
Lorsqu’il est effleuré, le tendre sans perception
Passagère, sans un frisson, ne serait-ce que sur poussière,
Nous ne reconnaissons plus notre Vie notre Terre parce ce
Qu’aucune grâce articule circulant les mots et ne fera fleurir
La rosée déposée, tel un papillon guette le suc environnant,
Ni de belles pensées regardées les faisant se décolleter !
C’est pour cela que nous paraissons, nous, vous singer !

C’est pour cela, aussi, que nos détentes restent sur le fond des vôtres
Fades et décolorées ! Nous ne pouvons plus vous comprendre.
C’est pour cela encore que vous ne pouvez imaginer en beauté l’Eden.
Après avoir été pourvus d’un ensemble dès l' origine au gré du temps,
De tout, vous sortez par vous-mêmes dépouillés, nus comme un ver !
Vous ne pourrez jamais entendre nos paroles faites de silences
Sur musicalité qui ne se peut être traduite que par sons qui ne
Se prononcent ; ils sont sensations évaporées, résonnent
Et chantent en l’âme ! C’est un état permanent
Vibrant qui jouit sans faiblir !


Ne cherchez surtout pas midi à quatorze heures
Le temps de l’heure ne sonne pas.
Elle est omni présente en chacun.
Par vous, la merveille de la merveille
Est portée au summum et pour nous
C’est la plus basse de nos notes
Vous avez perdu le vermeil
En vos oreilles sourdes.
Ne cherchez pas à percer
Le ciel sauf le jour où vous
Aurez perçu vos mystères
Qui sur terre vous
Echoient!


Poly, le brouillon est de 2000
ce 23 avril 2018
 
Dernière édition:
#2

je faisais de l'humour mais
combien réalité existe en relisant aujourd'hui!!


Texte que j’ai fait en 2013
Après une envolée plus haut la nuit !
Je ne connais rien du ciel, ni les fonctions
Des étoiles !​

Pardon mon Clochard Crasseux
C’est un vieux texte jamais posé en attente
dans mes poèmes récupérés
.
_______


Prise en écharpe je pars en flèche
L’étoile polaire me dépêche :

« Plus à droite, la filante m’attend » !

Brille au loin une étoile d’argent
Qui me dit :

« Rapide je suis,
Laisse moi te guider
Je suis ton ange téléguidé !
Les chariots sont trop lents
Petite ourse sème tous talents
Mais grande ourse freine l’élan » !

Moi,

Ta sœur qui nous prend en radar
Que fait-elle ?


C’est l’étoile star
Qui charme faisant de superbes grands écarts.
Elle excelle dans l’arc-en-ciel
Dès soleil couché, prend lune pour phare
Et jette sur terre ses jeux préférentiels !


Je t’emmène au paradis
Tu verras grand carnaval
Car aujourd’hui c’est mardi !
Les saints se costument tout en gras
Prenant vos images et les plus hardies !
Notamment vos consternations en dévotions
Nous trouvons difficulté à cerner vos images
Qui ne pourraient que troubler nos fêtes !
Inachevés dans leurs desseins masqués !
Nous cherchons en certains regards,
Si la pression que vous leur donnez
Se pose, en cicatrice pour panser,
Interpeler les êtres ou choses
Tendres et subtils !

Cet infini circulant jusqu’en vos lèvres !
Ce précieux apparaissant le temps d’un soupir
Et sa magie se mourant délicatement pour fondre
Dans son éclat jusqu’au bout de chaque doigt, et
Dans le creux de la main tendue vide, se lâche
L’aumône, tel un Missel dit ses prières !

Que de symboles restent encore fermés !
Que d’incompréhensions encore fourmillent
En certains qui n’ont d’yeux que pour flamber !
Lorsqu’il est effleuré le tendre sans perception
Passagère, sans un frisson ne serait-ce que sur poussière !
Nous ne reconnaissons plus notre Vie notre Terre parce ce
Qu’aucune grâce articule circulant les mots, ne fera fleurir
La rosée déposée, tel un papillon guette le suc environnant,
Ni de belles pensées regardées les faisant se décolleter !
C’est pour cela que nous paraissons, nous, vous singer !

C’est pour cela, aussi, que nos détentes restent sur le fond des vôtres
Fades et décolorées ! Nous ne pouvons plus vous comprendre.
C’est pour cela encore que vous ne pouvez imaginer en beauté l’Eden.
Après avoir été pourvus d’un tout dès l’origine, au gré du temps, de
Tout, vous sortez par vous-mêmes dépouillés, nus comme un ver !
Vous ne pourrez jamais entendre nos paroles faites de silences
Sur musicalité qui ne se peut être traduite que par sons qui ne
Se prononcent ; ils sont sensations évaporées, résonnent
Et chantent en l’âme ! C’est un état permanent
Vibrant qui jouit sans faiblir !


Ne cherchez surtout pas midi à quatorze heures
Le temps de l’heure ne sonne pas.
Elle est omni présente en chacun.
Par vous la merveille de la merveille
Est portée au summum et pour nous
C’est la plus basse de nos notes
Vous avez perdu le vermeil
En vos oreilles sourdes.
Ne cherchez pas à percer
Le ciel sauf le jour où vous
Aurez perçu vos mystères
Qui sur terre vous
Echoient!


Poly, le brouillon est de 2000
ce 23 avril 2018
Un rythme de lecture moderne, malgré que je n'ai pas compris le sens du poème, mes connaissances sont certainement restraintes. Amicalement
 

Vega46

Maître Poète
#7
J’ai adoré le rythme d’écriture un carnaval de mots, comme moi quand tu sors des starting-blocks tu envoies de la bonne prose !.

Je viens d’achever mon livre avec la confession de Momo...

Je vais prendre un peu de repos même si tout arrive assez facilement sur la page il faut du temps pour écrire...

Bises de Momo le clochard crasseux
 

Polymnie2

Maître Poète
#9
Merci Momo le Clochard Crasseux,
Ton avis m'est précieux car mes pensées ne sont que broches décrochées
et j'imagine voir le ciel avec ses yeux nous regarder!

Oui, il faut récupérer les énergies car faire travailler la tête est saoulant
sans le litron de picrak à côté!!!!!

Bises de l'amitié, Poly ensoleillée, ce 23 Avril 2018
 
Dernière édition: