Tapis dans l'ombre en attendant son heure,
Il se couche et guette l'innocente proie.
A portée de patte, il bondit et donne l'effroi,
A cette vulnérable chose qui subira cette peur.
Fier de son butin aisément acquis,
Il l'emmène avec lui dans l'antre de son maître.
Pourquoi donc, à sa vue, tous ces cris ?
Pas de félicitations, il devient comme un traître.
Mais peu soucieux de ce déplaisir,
Il pardonne à son maître, son seigneur,
Car déjà son ventre repère une douce senteur,
Et le pousse à réclamer son désir.
Une fois repu, il se souvient être éreinté.
Il repère des jambes dans le canapé,
S'y installe doucement comme à l'accoutumé,
Et décide seul de vouloir y faire sa nuité.
Ils ont beau ne pas êtres des anges,
Leur douceur jamais ne me dérange.
Leur tranquilité me fais sourire ou rêver.
Les chats, où la simplicité d'exister.
Il se couche et guette l'innocente proie.
A portée de patte, il bondit et donne l'effroi,
A cette vulnérable chose qui subira cette peur.
Fier de son butin aisément acquis,
Il l'emmène avec lui dans l'antre de son maître.
Pourquoi donc, à sa vue, tous ces cris ?
Pas de félicitations, il devient comme un traître.
Mais peu soucieux de ce déplaisir,
Il pardonne à son maître, son seigneur,
Car déjà son ventre repère une douce senteur,
Et le pousse à réclamer son désir.
Une fois repu, il se souvient être éreinté.
Il repère des jambes dans le canapé,
S'y installe doucement comme à l'accoutumé,
Et décide seul de vouloir y faire sa nuité.
Ils ont beau ne pas êtres des anges,
Leur douceur jamais ne me dérange.
Leur tranquilité me fais sourire ou rêver.
Les chats, où la simplicité d'exister.