Sieste tourmentée !
La LUMIERE feutrée de ce jour, je m’en souviens bien,
Un LIVRE jaunis dans ses mains, usé par des âges,
Dont l’enfant MUET semblait être à jamais le doyen,
Caressant sa couverture, partie en de longs voyages.
Il dormait sous l’AILE d’une grappe retombée de jasmin,
Une MOLLESSE s’emparait de ses yeux sous l’ombre,
Sa candeur frissonnante prise sans doute en mi chemin,
CAPTURER, cette envie d’éclaircir cette couleur sombre.
Parfois une épopée sauvage, parfois soumis à l’ABANDON,
Comme si un sentier le menait guerrier vers la bataille,
L’abeille GOURMANDE posée sur le pli de son pantalon,
Le dard hélas, coincé dans ses rayures en serre-taille.
Ce fut l’OISEAU lyre comme le klaxon d’un poids lourd,
Sursautant comme une puce, pris d’une grande colère,
Son visage douteux scrutait papy croyant au calembour,
En croquis la couleur FRAMBOISE d’une sphère armillaire.
LILASYS
La LUMIERE feutrée de ce jour, je m’en souviens bien,
Un LIVRE jaunis dans ses mains, usé par des âges,
Dont l’enfant MUET semblait être à jamais le doyen,
Caressant sa couverture, partie en de longs voyages.
Il dormait sous l’AILE d’une grappe retombée de jasmin,
Une MOLLESSE s’emparait de ses yeux sous l’ombre,
Sa candeur frissonnante prise sans doute en mi chemin,
CAPTURER, cette envie d’éclaircir cette couleur sombre.
Parfois une épopée sauvage, parfois soumis à l’ABANDON,
Comme si un sentier le menait guerrier vers la bataille,
L’abeille GOURMANDE posée sur le pli de son pantalon,
Le dard hélas, coincé dans ses rayures en serre-taille.
Ce fut l’OISEAU lyre comme le klaxon d’un poids lourd,
Sursautant comme une puce, pris d’une grande colère,
Son visage douteux scrutait papy croyant au calembour,
En croquis la couleur FRAMBOISE d’une sphère armillaire.
LILASYS