Si tu m'avais dit que j'étais belle
Je ne t'aurais pas cru
Si tu m'avais dit que j'étais cruelle
Je t'aurais cru
Et pourtant je ne suis ni belle ni cruelle
J'aime le son de ta voix
Le matin quand je m'éveille
J'aime le son de ta voix
Le soir quand je sommeille
Et toujours j'aimerai le son de ta voix
Quand tu rentres sur la pointe des pieds
Je ne t'entends pas
Quand tu rentres sur la pointe des pieds
Je ne te vois pas
Et pourtant tu es là tout près de moi
Avec toi c'est toujours le bonheur
Dans les larmes comme dans la joie
Avec toi c'est parfois le malheur
Mai malgré tout en toi j'ai la foi
Et toujours nous serons là ensemble
Plus jamais nous ne nous séparerons
La vie est trop belle
Plus jamais nous ne nous disputerons
Ce serait trop cruel
Nous y croyons et toujours nous nous aimerons
Ecrit il y a une quarantaine d'années pour mon premier mari
Je ne t'aurais pas cru
Si tu m'avais dit que j'étais cruelle
Je t'aurais cru
Et pourtant je ne suis ni belle ni cruelle
J'aime le son de ta voix
Le matin quand je m'éveille
J'aime le son de ta voix
Le soir quand je sommeille
Et toujours j'aimerai le son de ta voix
Quand tu rentres sur la pointe des pieds
Je ne t'entends pas
Quand tu rentres sur la pointe des pieds
Je ne te vois pas
Et pourtant tu es là tout près de moi
Avec toi c'est toujours le bonheur
Dans les larmes comme dans la joie
Avec toi c'est parfois le malheur
Mai malgré tout en toi j'ai la foi
Et toujours nous serons là ensemble
Plus jamais nous ne nous séparerons
La vie est trop belle
Plus jamais nous ne nous disputerons
Ce serait trop cruel
Nous y croyons et toujours nous nous aimerons
Ecrit il y a une quarantaine d'années pour mon premier mari