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Seule abandonnée

coqhardi

Maître Poète
#1
Je n’ai pas eu la chance d’avoir de fille
Les garçons vont vers leur belle famille
Mon écrit en es la parfaite illustration
Au fond de moi je ressens de la frustration

Un a deux coup de fil par mois
Pour voir si tout va bien pour moi
De temps en temps une courte visite
Dans ma petite maison ou j’habite

Toujours la même réponse je sais qu’il ment
< Maman je n’ai pas beaucoup de temps >
Par contre il est fourré chez ses beaux parents
Sa femme et sa mère sont comme un aimant

Elles n’ont pas encore coupées le cordon ombilical
Et lui la suit comme un toutou ça me fait mal
Pourtant enfant avec moi il ne manquait de rien
Et maintenant en voila le remerciement

Même encore actuellement quand il a un problème
Il sait que je ferais tout pour lui car je l’aime
Parfois quand je suis seule le soir
Je chiale il m’arrive d’ avoir le cafard

Mais quand cessera de battre mon cœur
Sur mon cercueil, il sera en pleurs
Il s’apercevra en suivant le corbillard
Que pour les bisous c’est hélas trop tard
 

Polymnie2

Maître Poète
#3
Ton poème est une triste constatation
surtout qu'en général le garçon reste
attaché à sa mère!
Cet état de faits lui-même en a t'il pris conscience?

Je ne peux parler de mes parents car nombreux
comme nous l'étions, les visites étaient multipliées!
J'ai même un frère qui me téléphonait chaque jour
au bureau pour prendre des nouvelles de notre
père avant de téléphoner à ma mère!
Il était à Paris mais dès un congé il était là
avec sa famille!

Un profond en partage,
Amitiés, Poly

!
 

Vega46

Maître Poète
#4
On fait je pense TOUT pour ses enfants, après ils font ce qui veulent personnellement je ne me rendrai pas malade pour eux !.

Ils viennent très bien ils m’oublient ce n’est pas grave à mes yeux !.

L’attachement paternel et maternel doit avoir ces limites !.

Pourquoi se rendre malade alors qu’ils n’ont pas une seule pensée pour vous !.

Après on finit comme une certaine poète du site continuellement en dépression !.

N’est-ce pas plus grave ?.

Amicalement
MLCCACTP
 

kinkin

Maître Poète
#6
Ha tu sais les jeunes de maintenant avant on passait pour la nouvelle année on jouait a la belote les soirs d'hiver l'été on s'asseyait sur un banc grand Mère ou Maman nous relataient leurs temps jadis mais maintenant tout fous le camp allez bisous Mamy bravo amicalement Kinkin
 

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#8
La vie est ainsi faite, on doit se sacrifier.
Je n'ai jamais vraiment aimé ce clivage.
Même s'il est vrai qu'il faudrait partager.
Il faut compter sur soi, éviter le naufrage.

Amitiés, Matthale
 

Philaly

Maître Poète
#10
Le mieux, c'est de n'en attendre rien....si bien que le peu qu'on recevra, ce sera déjà bien même si jamais assez !
Beaucoup de vrai dans ces vers amers...à cause d'une histoire d'un sombre cordon "ombrilical"!
Philaly