Seul, il rage
J’aimerais le matin étonner le silence
Égayer une rose au parfum langoureux
Mais le cri de douleur vient ruiner l’indolence.
Dans l’écrin de ton cœur je vois la violence
Qui surgit si souvent de ton lit malheureux
À l’aube de tes maux nous savons l’impuissance.
Imaginez l’enfer que redoute l’humain
Regrettant le passé puis pensant à demain
Sous l’orage
Quand la peur vous submerge en son triste tourment
Que la nuit vous évince en ce noir sentiment
Seul, il rage.
Maria-Dolores